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ATTELAGE
AUTOMATIQUE
principe aux conditions du concours, avait paru devoir être spécialement signalé. La seconde partie décrira succinctement celles des solutions, données parles concurrents aux diverses parties du problème complexe à résoudre, qui ont paru présenter une originalité intéressante, sans que la citation de l'une quelconque d'entre elles constitue en aucune façon une recommandation en faveur de son application pratique. Quelque séduisante en effet qu'elle puisse paraître au premier abord, les considérations formulées dans le rapport du 19 décembre 1912 sur la nécessité d'essais méthodiques préalables, en ce qui concerne les appareils primés et mentionnés, s'applique a fortiori à chacune des solutions partielles qui seront signalées dans cette seconde partie du présent travail et qui, bien que considérées comme intéressantes, peuvent n'être pas à l'abri de critiques même théoriques. Dans cette seconde partie, les appareils seront désignés uniquement par les numéros d'enregistrement alphabétique sous lesquels ils ont été inscrits au Concours ; un tableau annexe donnera la correspondance de ces numéros aux noms et adresses des inventeurs.
PREMIÈRE PARTIE.
A. — APPAREIL PAVIA ET CAZALIS (fig.
1 et 2).
Les pièces qui se mettent en prise pour réaliser l'accrochage sont un crochet (1) et un maillon (2) de forme analogue à celle des pièces de même nature constituant l'attelage actuel et placés dans la même situation qu'elles dans l'axe des véhicules. Le crochet est mobile autour d'un axe horizontal,