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CIRCULAIRES.
PERSONNEL.
en me réservant de demander à l'expérience les moyens qu'elle pourrait nous fournir pour mettre les voyageurs en communication soit entre eux, soit avec les agents du chemin de fer. Quant à la clause relative au tarif des céréales, la Commission a émis le vœu qu'elle fût maintenue, avec certaines modifications qui ne peuvent affecter en rien les intérêts des compagnies : j'ai l'intention de les adopter dans le cas d'un remaniement des cahiers des charges. Je vous prie, Messieurs, de vouloir bien vous conformer scrupuleusement aux prescriptions contenues dans la présente dépèche. En vous assignant, pour y satisfaire, des délais assez éloignés, je suis résolu à tenir la main à ce qu'ils ne soient pas dépassés. Quant aux questions sur lesquelles j'ai cru devoir réserver ma décision, ou dont la solution est subordonnée à une modification des cahiers des charges, du règlement ou de la loi, je vous prie d'en faire l'objet d'un examen attentif et de me faire parvenir vos propositions dans le plus court délai possible, et, au plus tard, avant l'organisation du service d'été. Je ne doute pas que ces propositions ne soient telles qu'elles répondent à l'intérêt général et à ceux des vœux de la Commission que je me suis appropriés. Le public attend beaucoup des compagnies de chemins de fer. 11 sait qu'elles tiennent entre leurs mains l'instrument principal de la production économique et de la prospérité générale. Il est sans doute des esprits malveillants, disposés à prétendre que ces compagnies se préoccupent outre mesure de leur intérêt propre dans l'usage qu'elles font de la grande puissance qui leur a été déléguée : le Gouvernement, Messieurs, qui est témoin de vos efforts et qui les apprécie, ne partage pas ces préventions; il ne manquera pas de vous défendre contre les exigences injustes et les impatiences exagérées. Mais il hésitera d'autant moins à vous pousser encore plus avant dans la voie où le sentiment public vous appelle, qu'il est profondément convaincu que les exploitations de la nature de la vôtre n'ont qu'à gagner à se montrer larges et libérales, et qu'il y a moins d'antagonisme qu'on ne le pense entre les intérêts de leurs actionnaires et ceux du public. Je vous serai obligé de m'accuser réception de la présente dépêche. Recevez, Messieurs, l'assurance de ma considération très-distinguée.
Le ministre de l'agriculture, du commerce et des travaux publics, ARMAND
BÉHIC.
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PERSONNEL.
DÉCRETS ET DÉCISIONS RELATIFS AU PERSONNEL DES MINES.
JANVIER ET FÉVRIER
1864.
DÉCRETS.
27 janvier 186Z1. — M. Fournel, inspecteur général de a* classe, né le a5 janvier 1799, est admis à faire valoir ses droits à la re-
traite. 3 février 1864. —M. Fournel, inspecteur général, est nommé commandeur de l'ordre impérial de la Légion d'honneur. 27 février 186Z1. — M. Vène, ingénieur en chef de 1" classe, est élevé au grade d'inspecteur général de 2e classe.
ARRÊTÉS.
i5 janvier 186Z1. — M. Vieillard, ingénieur ordinaire de 5e classe, chargé du sous-arrondissement minéralogique de Limoges, est chargé du sous-arrondissement de Caen. M. Flajolot, ingénieur ordinaire, qui avait été chargé de ce dernier sous-arrondissement, restera attaché au service de l'Algérie. Idem.— M. Worms de Romilly, ingénieur ordinaire de 3e classe, chargé du sous - arrondissement minéralogique de Périgueux, est chargé du sous-arrondissement de Bourges créé par décision du 7 mai dernier.
Idem. — M. de Cizancourt
ingénieur ordinaire de 1" classe.