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PERSONNEL. DÉCISIONS DIVERSES.
Arrêté du 8 juillet 1892. — M. Bernard (Maurice), ingénieur ordinaire de 3e classe, chargé du sous-arrondissement minéralogique de Carcassonne et du 4e arrondissement du service du Contrôle de l'exploitation technique des chemins de fer du Midi est chargé du sous-arrondissement minéralogique de Béziers et du 5e arrondissement du service du Contrôle de l'exploitation technique des chemins de fer du Midi. Arrêté du 22 juillet. — Les élèves-ingénieurs des mines hors de concours, nommés ingénieurs ordinaires de 3e classe à dater du 1" juillet 1892, recevront les destinations ci-après : M. Liénard sera chargé du sous-arrondissement minéralogique de Valence et du 9e arrondissement du Contrôle de l'exploitation technique des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée. M. Herscher sera chargé du sous-arrondissement minéralogique de Rodez et du 5e arrondissement du Contrôle de l'exploitation technique du chemin de fer de Paris à Orléans. M. Verlantsera chargé du sous-arrondissement minéralogique de Carcassonne el du 4° arrondissement du Contrôle de l'exploitation technique des chemins de fer du Midi. M. Colin de Verdiére sera chargé du sous-arrondissement minéralogique d'Oran et attaché, en outre, au Contrôle de l'exploitation des chemins de fer algériens. Ces dispositions auront leur effet à dater du 1" août 1892.
CHEJIINS DE FER EN EXPLOITATION. Arrêté du 20 juillet 1892. — Le service du Contrôle de l'exploitation du nouveau raccordement dirigé vers Paris, entre la ligne de Paris à Versailles (rive droite) et le raccordement précédemment établi du côté de Versailles entre cette môme ligne et le tronc commun des lignes de Saint-Germain et du Havre (réseau de l'Ouest) est organisé de la manière suivante, savoir:
PERSONNEL.
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II. Contrôle de l'exploitation technique. M. Pelletan, ingénieur en chef des mines. 1" arrondissement d'ingénieur ordinaire. III. Contrôle de l'exploitation commerciale. M. Marie, inspecteur particulier de l'exploitation commerciale. 1" circonscription d'inspecteur particulier. IV. Surveillance administrative. Commissariat de Paris Saint-Lazare.
ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE DES MINES. Décret du 14 mars 1892 (*). — L'École nationale supérieure des mines est autorisée à accepter le legs fait en sa faveur par M. Félix Bivot, ancien chef de bureau au Ministère de la guerre. [Ce legs, fait par M. Félix Rivot, en souvenir de son frère Edouard Rivot, ingénieur en chef des mines, professeur de docimasie, directeur du laboratoire et du bureau d'essai de l'École nationale des mines, mort le 24 février 1869 ("), se compose d'une somme de 50.000 francs, des livres et des manuscrits d'Edouard Rivot, de sa table de travail, de deux corps de bibliothèque, etc. Le même testateur a légué, en outre, à l'Académie des sciences une rente de 2.500 francs, destinée à être partagée chaque année entre les quatre élèves qui sortiront de l'École polytechnique avec les n" 1 et 2 dans les Corps des mines et des ponts et chaussées : 750 francs seront remis aux n°' 1 et 500 francs aux n" 2, au nom d'Édouard Rivot, pour aider à l'achat de livres de science ou à l'accomplissement de voyages d'étude]. Décision ministérielle du 22 juin 1892. — L'administration de l'École nationale supérieure des mines est autorisée à fonder, sous le nom de Prix Rivot, deux prix annuels en faveur des élèves que le conseil de l'École déclarera les plus méritants, l'un au point de vue général, l'autre au point de vue spécial de la chimie. Le surplus de la rente annuelle sera employé à l'achat délivres de sciences qui seront placés dans une bibliothèque spécialement
I. Contrôle des travaux neufs et d'entretien. M. Chabert, ingénieur en chef des ponts et chaussées. 1" arrondissement d'ingénieur ordinaire.
(*) Non inséré a sa date. (") Voir la notice nécrologique consacrée à Ed. Rivot {Annales des mines (le 1872, V, série, t.l , p. 390).