Annales des Mines (1817, série 1, volume 2) [Image 169]

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DU SULFURE DE PLOMB;

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TRAITEMENT

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réverbère, rifé fent croire.iqUe Si' l'on' traitait à ce fourneau les maties cilié donnent an fotirineâii manehe les- crasses du réverbère, en' obli'elirésultat avantageux. Ces niattes spnt, drait effet, peu sulfureuses, comme k prouve leur en presque ductilité et la grande abondancè eè plomIi qu'elles fournisseni..rnême an foiirilea4 à inanche ; là seule pi raitiOflc_jui Mie paraîtrait les traitant', nécessaire ,, serait de donner , là modérée , sans quoi toute une chaleiir tière entrerait en fusion; il serait peut-être fies= sible de les -traiter clanS le cerainenceinen't des .

fontes de Sali-ch:0a chaleur étant Tpeii forte alur.il La fu.mée qui s'élève est déjà fort épaisse,

deit ,perdre dans ce moment uriei asseï W6F table qiiantité de plomb à l'état d'exide à 'cette. iiiède heure ipie le Plomb coiffe 1e phiS ee celle abelidarnin élit; c'est sà Présence,

d'un peu de mattes, qui ramollit le*S -Matières

on voit effectivement beaucoup de grebides, dé sse; il S nè 'sont i)as plomb clissétninés clans la

'rouges, ce qui 'annonce qiie; les subist'aii'pes au

fourneau à réVerbère n'ont OS une teniPér affre aussi élevée qU'on le croirait, en veyantJé.gemb sortir du bassin de percée. Ce 'qui le fut rengir; c'est sen, seienr prôlôngé dans ce basin où il s'échàUffe continuellérnati. et pà'éticnIi&énYent son trajet à nu snr la sole .ou Il est arrete par de -

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ncimbreuses 'aspérit éS et `eiepPisé plus ou Moins hm-tg-st:64s 'à une frakWei cti;èà-actiVe; 'aussi f u m é- tlit Te rte m ent .

A ic) beures l'écoulement id..iiiçalérititi'dejà-; Yéi l'in jette l'on"Caininea à a len ent . prennere-ouverture le reste des toujours par la parlé précédemment. matires dont nous avons

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La deuxième percée s'est faite à ii heures; le plomb était très rouge et mêlé de mattes qui provenaient en grande partie de celles que l'on venait de jeter dans le fourneau.

Ces mattes viennent nager à la surface du

bain, où elles se solidifient; on laisse celles qui recouvrent immédiatement le plomb, afin que

ce dernier soit mieux défendu du contact de l'air; le premier ouvrier énlèVe le reste avec une écumoire, peur que lé plomb puisse bien s'en séparer : il lés met dans la pelle courbe, dont est armé un autre eirvrier qui les rejette dans le fourneau Pâr la, première porte. Ces mattes qui, lorSqiielleS étaient liquides, retenaient beaucoup de plomb, soit mélangé, soit combiné, le laissent alors s'écouler abondamment et promptement. 3°. Ressuage et déchargement. Le schlich ayaiit déjà pi:ddiiit plus de là

de son plomb, ce qui reste est retenu beaucoup plus fortement ; aussi la chaleur doit-elle être alors plus considérable; C'est ce qui donne lieu aux dispositions suivante. A ii heures 4, c'est-à-dire d'heure après avoir coniniencé le trm;ail de la deuxième percée, temps peridant lequel on n'a point travaillé dans

le fourneau, le troisièrik ouvrier,' placé à la

troisième porte, s'est occupé à r'ejeter les inatières vis-à-vis la deuxièmeporte. Comme alors une partie de là sole se trouve nue et exposée à la grande chaleur, cette partie pourrait se ramollir et se dégrader dans l'opération. du déchargement, si l'on n'avait soin dé jeter dessus trois, demx ou jute pelletées de éliâffi; Éélori