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sur LA GALÈNE
plus grande que la coupellation a eu lieu à une température plus élevée, et que , terme moyen, elle est de 0,50 à 0,60. Le plomb qui provient d'une semblable opération, ainsi que le plomb pur qui a été en par. tic coupelle, est feuilleté, fragile et terne, même dans les faces de fracture. 11 semble qu'il soit imbibé de litharg,e. Lorsqu'on le tient quelques instans en fusion avec le contact du charbon, il reprend son éclat, sa ductilité et toutes ses propriétés. Volatilité Le plomb, ainsi que la galène, sont volatils, Plemb et mais la galène beaucoup plus que le plomb. A a de lgalène. la temperature de 500 pyrométriques le plomb perd environ o,005 de son poids; à la tempéra-
ture de 150°, il perd 0,09 à o,io. La galène,
aux mêmes températures respectives, perd 0,40 et 0,71; dans le dernier cas, il reste un mélange
de plomb et de sous-sulfure. La volatilité du sous-sulfure est intermédiaire entre celle de la galène et celle du plomb. Il paraît que la chaleur produit dans les sulfures de plomb une décomposition de laquelle il résulte que la proportion de métal augmente sans cesse dans le résidu et
que le soufre, au contraire, se trouve en plus
grande proportion dans la partie volatilisée que dans la matière dont celle-ci provient. voiaciiirecherché aussi quelle est la volatilisation sation s euJ'ai Plomb dans4 cou pellation. du plomb et de la danlcoupe lation du galène, ainsi que dans le grillage de celle-ci. plomb. J'ai coupelle 5ogranames de plomb pur dans une Coupelle exactement pesée, après avoir été trèsfortement calcinée, et placée dans une petite coupe en porcelaine également pesée ; pat-. .
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ATICENTIFtRE:
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c1e nouveau la coupelle et la coupe après l'opé-
ration, et j'en ai déduit la quantité d'oxide de plomb produit par les 3o grammes de métal. Le résultat moyen de douze expériences a été 32,.,to ou 107 pour too : or, toc) de plomb auraient chi produire 107,7 d'oxide, il y a donc eu une volatilisation de 0,007 au phis; il est même probable que cette volatilisation ne dépasse pas un demi-centième. Dans la coupellation en grand on trouve que la perte est beaucoup plus considérable, puisqu'elle s'élève à 2 ou 3 centièmes; mais il faut remarquer qu'outre la volatilisation cette perte renferme la projection hors du fourneau de gouttelettes de plomb, par le vent des soufflets, les déchets de la manipulation, etc. Il est beaucoup plus difficile de déterminer la volatilisation du plomb dans la coupellation de la tion diains.la.
galène, parce que d'une part. il se volatilise du ZigaiZen. soufre avec le plomb, et que de l'autre la coupelle renferme un mélange d'oxide et de sulfate de plomb en proportions variables. Il fallait donc Quantit6 commencer par rechercher la proportion de su!- de fate de plomb contenu- dansL les coupelles. J'ai plomb é. employé d'abord pour cela l'acide nitrique pur étendu d'eau; mais j'ai reconnu qu'on ne peut séparer exactement le sulfate de plomb de la matière de la coupelle par ce moyen, parce qu'il faut faire chauffer l'acide à plusieurs reprises sur le dépôt pour enlever tout le phosphate de chaux, et qu'il arrive alors qu'une portion notable du sulfate de plomb se dissout, et aussi., parce qu'on n'a aucun moyen simple cie reconnaître lorsque le résidu est du sulfate de plomb pur. J'ai ensuite essgyé l'acide acé tiquehouillan t,
dans l'intention de dissoudre tout l'oxide de plomb sans toucher au sulfate de plomb ni au