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clltmxt. un sous - hydrocyanate : tel est probablement x6
l'état de la combinaison du cyanure de mercure. avec l'oxide de mercure. 40. Les sels appelés prussiates ferrugineux sont ou des cyanures composés d'un atome de cyanure de fer et de deux atomes de cyanure de l'autre métal, ou des hydrocyanates doubles, dans lesquels le fer est à l'état de protoxide et prend
la moitié autant d'oxig,ène 'que lé radical de l'autre base.
50. Les cyanures des métaux alcaligènes con' servent leur cyanogène à une température élevée; mais le cyanure de fer, combiné avec eux, se décompose , donne du gaz azote et laisse du quadricarbure de fer. 6°. Les cyanures des autres métaux non réductibles, se décomposent à une température élevée. Ceux qui peuvent être entièrement privés d'eau donnent, comme le cyanure de ler, , du gaz azote et se changent en un quadricarbure double. Ceux, au contraire, qui conservent leur état d'h.ydroéyanate jusqu'à ce que la décomposition commence, perdent une certaine quantité de leur -carbone , et le carbure qui reste conteint le fer en forme de quadri-carbure ; mais l'autre métal se trouve à un degré inférieur, par exemple, en forme de tri-carbure ou de bi-car-
bure.
7°. Les métaux réductible par la chaleur seule perdent le cyanogène sans retenir le carbone ; mais il est probable que quelques-uns d'entre eux peuvent, à une température plus élevée, partager le carone avec le carbure de fer. 8°. La plupart de ces carbures métalliques sont pyrophoriques et s'enflaunnent lorsqu'on les ex-.
'EXTRAITS DE JOURNAUX;
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pose à l'air, avant qu'ils soient tout-à-fait refroidis. Quand on les chauffe au rouge naissant en vase clos, ils entrent en ignition. Ce phénomène, analogue à celui que présentent la gadolinite
l'hydrate de zircone, ainsi que les oxides de chrome, de fer et de rhodium, parait provenir
d'une combinaison plus intime qui s'établit entre les métaux et le carbone. 9°. Les combinaisons de l'acide sulfurique avec les hydrocyanates .sont des sels acides doubles, dans lesquels deux bases sont combinées à-la-fois avec un excès de deux acides. Les bornes que nous devons donner à cet ticle ne nous permettant pas d'entrer dansarle détail de tous les faits qui ont conduit M. Ber-, zélius à ces résultats, nous allons nous contenter de présenter un exposé succinct des propriétés principales des prussiates qu'il a examinés. On purifie le cyanure depotassiurn.et de fer, Cyanure de
ozzprussiate depotassejrrugineiix,
fan t sans le contact de l'air jusqu'à leen le chauf- Pdcenff'esrsium " fondre, et
en le faisant cristalliser ensuite une ou deux fois, après l'avoir précipité par l'alcool de sa dissolu-. tion dans l'eau concentrée et saturée par l'acide
acétique. Les cristaux sont d'un jaune faible, mais pur; ils ne s'efileurissent pas à l'air, A la température de 6oc> cent. ils abandonnent 0,124 à 0,129 d'eau; à la température de l'eau
bouillante, ils ne perdent plus rien. Dans le vide, et en contact de l'acide sulfurique-concentré., ils laissent échapper toute leur eau à la tempéra-
ture de 13°. On peut tenir le cyanure de potassium et de
fer fondu, sans le décomposer. Chauffé en vases