Annales des Mines (1822, série 1, volume 7) [Image 8]

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DfleTittmntr.' Le marteau a été levé à 5o degrés de rtfee'de division fet de ce point on l'a fait tomber sUts les balles qui se sont élargies successivement en rondelles circulaires de 3o millimètres dé dia-

mètre ; on a eu soin de compter les coups de marteau'. qui ont été .donnés sur -chaque balle pour obtenir cet élargissement. Dans le tableau suivant, on a indiqué les plombs ' et étains qui ont été soumis à l'épreuve.

NOTICE Sur une disposition particulière de la

glace; PAR M. Ingénieur au Corps rbyal des Mines.

EN parcourant , vers la fin de novembre 1816, DÉSIGNATION DES PLOMBS ET ÉTAINS.

., ... ..

, ..

Nobilet do coups de nutrtenn donné,.

.

Anciens flans connus bons à l'usagé déS fl.ttitenëà, ' Plomb neuf en saumons de W. BLA ClitETT Idem, de BLANGILL Idem, de CALDEBEK Plomb de flans prêts à être expédiés Anciens flans refondus dix fois dans le moule. ..

Plomb des ébarbures pris dans l'atelier Plomb dans lequel nous avons ajouté un dixième de zinc. Étain de Cornouaille

que les dépressions légères qui longent les pentes 11 7.1

12 12

to /2

i4 4.

,

Observations.

les lieux élevés des. environs de Deville (1), à trois

lieues au nord de Mézières, je fus frappé d'une .disposition particulière de la glace-clé remarquai

D'après ces données, l'auteur a,reconnu, d'une

part, les plombs les plus douXqdiel'Administration générale des douanes désirait pour le plombage des colis ; et, d'une. -autre part : 1.0. Que le plomb refondu dix fois de suite loin de s'aigrir, gagne en qualité; 20. Que le plomb mélangé avec ,Un dixième de zinc se durcit senSiblement Que l'étain 'de Cornouailles. serait quatre T'Ois plus dur quelé pfàfilb.

des hauteurs dont il s'agit, paraissaient de loin couronnées d'efflorescences de glace et de près

offraient de véritables végétations qui s'étendaient à de grandes distances, et s'élevaient, selon les circonstances, jusqu'à 8 décimètres de hauteur; ensuite elles se brisaient pour se reproduire de nouveau au bout d'un certain temps. Ces végétations offraient à l'oeil des assembla-. ges continus de petits faisceaux de glace (voyez Pi. I, yik. 2), composés de cylindres cannelés et fibreux qui se surmontaient parallèlement entre (1) Les montagnes qui constituent la chaîne des Ardennes sont généralement composées en bancs alternatifs de schistesargileux-ardoisiers et de grazewackes-schisteuses à grains plus '-où moins fins , qui finissent par se confondre tout-à-fait avec les -séhistes argileux proprement dits. La direction moyenne de es couches va de l'est à l'ouest , en déviant un péu au nord du côté du Rhin, sous une pente de 45d environ, qui a lieu, selon deux sens opposés, aux extrémités longitudinales de la chaîne.

T. F. C.