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MinIOIRE SUR LA JEFFERSONITE, 42° fourneaux des environs; l'absence de la magnésie et la présence d'une grande quantité de manganèse semblent la rendre propre à cet usage (i).. e.,z)Cornnte la plupart des minerais de fer ont pour gangues
guère probable que la des matières trèssiliceuses, il n'est ellemême , puisse souvent jetTersonite, qui l'est .beaucoup , si la jefleur servir de fondant. Au surplus , la magnésie fersonite en contenait, ne serait pas un obslacie à ce qu'on se trouve l'employât à cet usage car lorsque cette terremoins aussi bases , elle forme des verres au avec d'autres quantité équivalente fusibles que ceux qui renferment une 43'alurnine. P. 11.
SuR les sulfures qui proviennent de la réduction de quelques sulfates par le moyen du charbon.. P.,th M. P. BERTHIER , Ingénieur au Corps royal des Mines.
ON sait depuis long-temps qu'à la température de la chaleur blanche, le charbon transforme
en sulfures tous les sulfates qui ne sont pas très - facilement décomposables par la chaleur seule ; mais jusqu'ici on s'est peu occupé de
rechercher quelle est la nature et la composition des différens sulfures que l'on peut obtenir ainsi. C'est cette recherche que je me suis proposé de faire, pour un certain nombre de ces sulfures , en entreprenant les expériences dont je vais rendre compte. Ces expériences m'ont donné les moyens de résoudre la question encore indécise de savoir si les alcalis et les terres alcalines sont à l'état métallique dans leurs sulfures préparés par la voie sèche. Elles sont si simples, que l'on est étonné qu'elles n'aient pas été faites plus tôt : on va voir qu'elles eussent conduit de la manière la plus directe et la plus évidente à la connaissance de la nature des alcalis et des terres alcalines, connaissance que l'on n'a acquise, relativement aux terres alcalines, que par des moyens indirects et par des
raisonnemens fondés sur des analogies. On a coutume de procéder comme il suit lors, que l'on veut réduire un sulfate par le charbon. On pulvérise les deux substances on les passe'
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