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'OHDUE.
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retranchant de la toxide sans se désagréger : en il reste, 3g,42 d'oxiperte 3g;62, les 0g,2 d'eau, de 18,8o de peroxide; ce gène qui proviennent les expériences qui équivaut à 0,18o2 or, d'après devrait de M. Berzelius, cette quantité d'oxigène d'obtenir deux être de 0,1799. 11 est impossible résultats 'phis rapprochés. se Ainsi le peroxide perd o,i8 d'oxigène en transet n;t2 en se protoxide , transformant en l'oxide rouge conformant .en oxide rouge, et données suffisent plus de métal. Ces tient 0,734 au trois oxides, pour déterminer la composition des est exactecette composition et font voir que Arfvedson l'ont ment telle que MM. Berzelius et le déterminée. .le n'ai fait aucune expérience sur deutoxide, de chlore Lorsque l'on fait passer un contant du carà travers de l'eau qui tient en suspension récemment précipité .ou bonate de manganèse pulvérulent, ce carbonate bru, même simplement s'en dégage, nit promptement, l'acide carbonique manganèse et un et il se forme du muriate de supérieur au base un oxide hydrate ayant pour un protoxide. Si l'on fait passer dans la liqueur heures qu'après vingt-quatre tel excès de chlore de libre, l'hyde repos elle en contienne encore peroxide
- si, au condrate formé- est à base de
pour traire, on n'emploie pas assez de ilchlore peut ne se faire disparaître tout le carbonate, dentoxide
mais le former que de l'hydrate de des deux hyplus souvent on obtient un mélange chlore agit sur le drates, parce qu'il arrive que le jusqu'au deutoxide avant d'avoir pu pénétrer pour en centre des petits grains de carbonate opérer la décomposition. .
EXTRAITS DE JOURNAUX. i63 On sépare aisément le carbonate de manganèse
qui peut rester mélangé avec l'un ou l'autre hydrate au moyen de l'acide acétique ou de l'acide nitrique affaibli, qui n'attaquent aucunement ces hydrates à froid. Les deux hydrates ont le même aspect .: ils se présentent sous la forme d'une poudre voliimineuse, très-légère, remplie de petites paillettes brillantes. Cette poudre, égouttée sur un filtre, retient une très-grande quantité d'eau. Par la dessication au bain-marie, elle ne diminue pas de volume et ne s'agglomère pas : elle est d'un brun foncé et très-tachante. Pour en faire l'analYse , j'en ai .4'àbord4ortement calciné une certaine quantité,: ce qui m'a donné la proportion d'oxide rouge Produit et la proportion de l'eau et de l'oxigène dégagés; puis j'en ai distillé une autre portion dans une petite cornue de verre, que j'ai chauffée graduellement jusqu'au rouge naissant, et à laquelle j'avais adapté un tube de verre très-léger et bien sec. J'ai forcé toute l'eau à se condenser dans ce tube, en exposant successivement à la flamme d'une lampe à esprit de vin 1-es parties du col de la cornue dans lesquelles j'apercevais des gouttelettes de liquide.
Le tube ayant été exactement pesé-d'avance , n'a fallu qu'en pi:endre de nouveau le poids après l'opération, pour avoir la proportion exacte de l'eau. Pour vérification, j'ai recueilli le résidu de la distillation, je l'ai pesé et je l'ai amené à l'état d'oxide rouge par une calcination convenable. J'ai trouvé que pendant la distillation il se dégage du quart au tiers de la quantité d'oxigène que l'oxide peut perdre pour se transformer en oxide rouge. Le gaz oxigène commence à se dégager en
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