Annales des Mines (1823, série 1, volume 8) [Image 412]

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SUR LA STABIL/Tl':

8o8

VOU-ns.

on ne peut la déterminer que par tâtonnemens. on Dans le cas de la voûte de l'église St.-Isaac, 9r 54. p. anglais, r 3. p. anglais, aR

née dans chaque espèce de voûte sphérique par une méthode analogue à celle que nous venons

et l'équation (.2.) devient (.3.)...

d'indiquer, on calculera la valeur de

4,37 ,

2,12.5

-1-

Cos. c:p -- 1

,1

19.z.

cl)

1-1--cos.cp

on peut se servir ici de la table et du mode d'essais que nous avons indiqués dans l'application précédente ; alors 600, le second membre de l'équaPour cp tion (.3.) devient . 2,061.

2,094. 2,117. 2,122.

450 ,1)

72.=

67° So' 68°

les Or, puisque une différence de 0,005 entre difféà une deux derniers essais correspond angles, on peut o03o' entre les deux rence de admettre qu'une différence de o,003 entre le dernier essai et le résultat réel exigera une augmentation de o°18'; et, en effet, l'hypothèse = 68°18' satisfait jusqu'à la quatrième

ci'male. Cette valeur de çdonne punrle gr h nombre de 220.

On peut donc avancer que, dans une voûte est sphérique dans laquelle l'épaisseur constanteà se diamétrale, et qui tend le *- de l'ouverture aura partager en 12 demi-fuseaux égaux, il ysitué à fuseau un joint de rupture pour chaque 68°18' à partir de la clef, ou à 21°42' à partir de la naissance.

-

,

LA valeur maximum de

ma étant détermih' MA

-- pour

s'assurer si le moment de stabilité est positif. M est le poids des parties de la voûte et du mur cylindrique, comprises entre deux plans méridiens consécutifs, A la plus courte distance entre la verticale passant par le centre de gravité de M et la tangente à la base du cylindre extérieur du mur, sur le milieu de l'arc correspondant à l'angle 2 C; enfin H est la hauteur du sommet de l'extrados au-dessus du plan de la base du mur cylindrique. Conclusions.

Nous avons démontré dans ce mémoire :

Que le moment de stabilité d'une voûte ma, quelconque est H M. étant le moh

ment du poids de la demi-voûte entière et de son pied-droit, par rapport à l'arrête extérieure de la base, où le pied-droit tend à se rompre ; H la hauteur du sommet extrados de la clef audessus dit plan de cette base ; ma le moment ([e la partie de la voûte comprise entre le milieu de la clef et le joint de rupture, par rapport à l'arrête intrados de ce joint ;-'enfin h étant la hauteur du sommet extrados de la clef an-dessus du plan horizontal mené Par cette arrête. 20. Que le joint de rupture est celui pour ieTome KM. 4e.:_dise. Fff