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SUR LES ROUES
ITYDRAULIQUES.
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servir à régler l'ouverture périences, ne pouvaitprécision suffisante ; on en du pertuis avec une B R, en tôle mince, a placé en avant une autre très-étroites , placées glissant dans des rainures de la face exexactement dans leprolongement
substitua plus tard la mesure directe de la profondeur de l'eau à l'aide d'une règle de Kutsch , divisée en millimètres : çette mesure était.prise différentes fois durant une même expérience, afin de constater que le niveau n'avait pas sensiblement varié.
aucune perte d'eau. Cette n'y touchait que gler la véritable ouverture, on une lorsqu'il était nécessaire d'en changerlepour soin d'éon avait nouvelle série d'expériences; intérieure pour qu'elle ne lever assez la vanne de pût troubler en aucune manière l'écoulement (2) les au-.l'eau. Nous avons déjà fait connaître à cette disposiIres avantages qui sont attachés tion. suffisam15. Pour régler avec une précision ventelle extél'ouverture de la ment rigoureuse petites règles rieure, nous avons fait préparer de ouverlargeur les diverses de bois, ayant pour les précautions tures à établir; on prenait toutes qu'elles n'avaient pas nécessaires pour s'assurer moment où il fallait s'en sensiblement varié au l'une de leurs faces servir : alors on ippliquait coursier, et l'on baissait sur le fond incliné du ce que son extrémité inféla ventelle jusqu'à faisait ensuite rieure touchât l'autre face ; on entre la vanne '-lisser la règle dans tous les sensexactement dans et te coursier, en la maintenant évident que l'épaisune situation verticale; il est précise seur de la règle donnait d'une manière l'ouverture du pertuis. Quant à la manière de déterminer la hauteur avions employé d'ade l'eau dans la caisse, nous d'une tige grabord tin flotteur glissant le long été rompu, on y duée ; Mais ce flotteur ayant
comme l'on sait, la partie la plus délicate et la plus dif-
façon qu'il n'y eût térieure de la retenue, deventelle servant à ré-
16. La manière de régler le niveau est,
ficile. de cette sorte d'expérience ; elle exige beau-
coup de soin et de patience. N'ayant point d'ailleurs .à notre disposition les moyens plus ou moins ingénieux employés par divers auteurs, nous nous bornions à établir, à côté de la caisse servant de réservoir, un canal et une vanne de décharge, dont les dimensions suffisaient à l'entier écoulement de l'eau fournie par le ruisseau : la petite vanne de la roue étant levée convenablement, on réglait, .par tin tâtonnement souvent fort long, l'ouverture de celle de décharge, de manière à obtenir le niveau constant que né-
cessitait l'objet particulier de l'expérience -à faire. Le temps était mesuré à l'aide d'un compteur de Bréguet, donnant les demi -secondes , et la quantité d'eau écoulée pendant une seconde s'obtenait par le temps qui était nécessaire pour remplir une caisse jaugée à plusieurs reprises, et qui contenait exactement 184 litres. On n'a jamais compté pour bonnes que les expériences qui, étant répétées à plusieurs reprises,
ne donnaient que des différences d'une demiseconde dans la durée totale de l'écoulement, et l'on a constamment agi ainsi pour toutes les autres espèces d'expériences dont .il sera rendu compte
par la suite. 17. Avant d'aller plus loin et de faire connaître Tome XII, 5e. livr. 5o -