Annales des Mines (1826, série 1, volume 12) [Image 264]

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SUR LES ROUES

au-dessous de 2 par exemple, pour des chutes de vanne de 15 à 25 mètres, avec des ouvertures tandis qu'on pourra centimètres de hauteur ; seulement égal à o,65, supposer ce même...rapport chute ou d'une pour le cas contraire,d'une grande petite ouverture de.'-varine. du jeu Si d'ailleurs on-.vôni4t. tenir compte pourrait, sans qui existe dans le cOnfSier, on le la vérité, prendre de , s'éloigner beaucoup les petites vitesses et 0,70 ?..)

nombre o,8o pour

pour les grandes sujets, que, 56. On se rappellera, à ces différens l'appareil que nous particulière de vu la nature impossible de avons mis en usage, il nous étaithauteurs d'eau faire des expériences sur des de 24 centimèbeaucoup plus fortes que celles dèstres, attendu que (8 et 13) l'eau aurait cessé elle est l'effet dont lors de produire sur la roue dissimulons pas au sursusceptible. Nous ne nous à être plus que ces différens résultats demandent grand : c'est expériences plus en vérifiés par des faire dès que l'occe que nous nous proposons de casion s'en présentera. d'ailleurs uniqueComme ces résultats sont de la roue, quantités d'action ment relatifs aux à l'instant absolues de l'eau comparées à celles arrive souvent, roue, et qu'il où elle agit sur cette quantités qu'on les compare aux dans la pratique, d'adtion dues à la chute totale de l'eau, comprise jusqu'au bas de la depuis le niveau du réservoir examinions les choses roue, il convient que nous sous ce dernier point de vue. (i8) que, 57. Nous avons déjà fait observer de la vanne et du par une disposition convenable aisément coursier de notre appareil, on pouvait

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HYDR AULIQU ES.

obtenir que l'eau, en sortant du pertuis, acquît une vitesse égale à celle qui est indiquée par la théorie, et ne donnât lieu à aucune contraction sensible sur les côtés et le fond du coursier il ne reste donc plus qu'a examiner la perte de vitesse

qui pourra être occasionnée par suite du seul frottement de l'eau contre les parois de ce coursier. Cette question serait toute résolue si l'on vou-

lait admettre, avec Bossut , que l'inclinaison du ioe., donnée au coursier, est nécessaire pour restituer continuellement à l'eau la perte de vitesse qu'elle éprouve de la part du frottement ; mais on ne doit pas oublier que les expériences de Bossut ne concernent que des lames d'eau de et 2 pouces. (l'épaisseur sur 5 de largeur, avec des vitesses qui n'ont jamais été moindres que 2m,50, et s'élevaient jusqu'à 4 mètres : or il paraît résulter de beaucoup d'autres expériences, que l'augmentation de la masse de l'eau et la diminution de sa vitesse ont une influence très-grande sur l'affaiblissement de la résistance due au frottement. 58. L'inspection des 8mes. colonnes des tableaux des art. 37 et 44 conduit à une conséquence semblable; car les nombres de ces colonnes montrent

clairement que la diminution de la vitesse de l'eau dans son passage à travers le coursier, est d'autant moindre, que sa section est plus grande et

sa vitesse plus faible.; on doit même remarquer que la loi qui existe entre ces nombres assigne, pour chaque ouverture de vanne, une limite inférieure assez grande au décroissement de la vitesse de l'eau dans le coursier par suite des résistances; car si l'on suppose, par exemple, H ou la hauteur de chute infinie dans la formule de l'art. 48, qui représente ces nombres pour une 33.