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DES COMBUSTIBLES MINÉRAUX.
ment 2 millions de quintaux métriques ou hectolitres de houille. (Voyez le Rapport à la Chanzbre de Commerce de Paris, sur l'approvisionnement de la Capitale en Charbon de terre. Paris,, avril 1826, pag. 2 et 18.) De telles données paraissent propres à faire désirer que l'industrie française profite des intéressantes recherches de M. Karsten sur les combustibles minéraux. L'attention que l'Académie royale des Sciences vient d'accorder à la traduction abrégée de cet ouvrage permet 'd'espOrer se.répandra dans nos ateliers sousdes,au&piees favorables.
ORDONNANCES DU ROI, CONCEPINANT LES MINES, RENDUES PENDANT, LE COMMENCEMENT DU PREMIER TRIMESTRE. DE_ 1.826.
fidDONNANCE du 6 janvier 1826, portant con- Mines d'ancession des mines d'antimoine d'Ouche, situées timoine d'Ou9kte. dans la vallée de ce nom (Cantal ). ( Ex trait. )
,ete,,etc., etc.
1er. Il est fait concession au sieurBerthier des mines d'antimoine d'Ouche , situées dans la vallée de ce 'ART
nom , communes de Saint-Victor et Auriàc , département du ,Çantal.
II. Cette concession comprenant une étendue super,ficielle d'un kilomètre carré soixante-dix hectares, est et demeure limitée conformément au plan joint à là préprésente ordonnance, comme il suit 5 savoir
4ti sud-sud-est, par une ligne droite partant du vit-
la.e'4 Chabannes et aboutissant à celui de Bussas; 'An sud-est , par une seconde droite partant dé Bussas et arrivant au village d'Ouche ; Au nord-est, par une troisième ligne droite, dirigée du village d'Ouche à celui de Chantegea.y et terminée à deux ceni. quatre-vingt-trois mètres de distance avant ce dernier
village, par un point B marqué sur le plan, on il Sera
planté une borne Au nord-ouest, par une ligne droite partant du Foint B ci-dessus et se terminant au rocher marqué A sur le plan à sept cent trente mètres de distance occidentale de Chabannes, et à neuf cent vingt mètres de Bussas
Au sud-ouest, par une ligne droite, partant du rocher A , et se terminant au village de Chabannes, point de départ.
ORDONZdHCE dà 6 janvier 1826, portant que le sieur François Bureaud est autorisé à convertir l'ancienne forerie du Gond, située sur
Usines à fer du Gond.