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SUR LES CHEMINS
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administration , etc.; ce qui fait itio liv. pour les dépenses d'entretien , administration , etc., on pour too du prix de la construction, et en tout 5.57 liv. st., ou plus de 10 pour 100 du capital primitif. M. Navier, dans son mémoire sur le chemin de fer de Paris au M'ivre, ne porte les frais d'entretien , administration, etc., de .ce chemin qu'à
45o,000 francs, ce qui fait 1,451 pour too du
capital de la construction. M. Baader admet pour le même objet 5 pour 100 , mais en y comprenant les frais d'entretien des chariots, que. M. Navier porte a' 2 centimes par lieue et par tonne (i). Les frais d'entretien d'un chemin de fer, dit M. A. de Gersiner (2 s'élèvent tout au plus au ,
cinquième de ceux d'une route , et que l'on compte à 5 pour too des frais (l'établissement. Pour être tout à fait sûr de mes résultats, je les suppose de 2 2j pour i °o. »
Enfin, MM. Menet et Henry, dans leur mémoire sur le chemin de fer de Roanne à Anche-
portent les frais d'entretien à 100,000 francs , ou I 1; pour too environ du capital employé pour la construction du chemin , et ne comptent que 6o,000 fr. pour les frais d'administration, perception, garde, etc., après l'achèvement du chemin : cela ferait en tout un peu Lieux ,
moins de 2 + pour too du prix d'établissement. Revenons aux données de M. Girard. Cet inles intérêts du cact bénieur, lorsqu'il compte pour frais d'entretien, etc. pital de la construction, les ) (2.)
Sur l'avantage, etc. , p.
Journal du Génie civil.
A onrviimrs.
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d'un chen-iin, de fer, lu pour Io° des frais d'établissement , n'indique -pas à combien il polie ie taux de l'intérêt. Il nous est donc impossible de dire avec certitude quelle est la portion qu'il réserve aux frais d'administration, entretien , etc. Quoi qu'il en soit, nous ne pensons pas avec que les charges des concessionnaires de routes
en fer et de routes ordinaires soient dans le
même rapport avec le capital de la construction. Nous les croyons moindres dans le premier cas surtout si le chemin de fer a été primitivement
bien établi avec des rails en fer malléable de force suffisante- et si l'on emploie les machines locomotives, qui ne. dégradent pas le sentier entre les rails. En Écosse, On comptait pour' u u eb.emin long Frais d'entre-
de onze milles, coûtant 49,000 liv. st. à cOns- tien d'un truire , i000 liv. st. pour- les frais d'entretien , chemin- clef" administration , perception , etc. , non compris "Éc""' les intérêts des capitaux , cela fait un peu plus de 2 pour lot); 'mir ces i000 liv. st., 565 étaient données aux entrepreneurs des. réparations ; ce qui fait environ 55 liv. st. par mille ( r)16 fr. par .
kilomètre. A Darlington , on paie 35 liv. sterl. pour le A Dariington. même objet. Les entrepreneurs se chargent d'entretenir la voie de terre; de redresser les rails, .etc.;
mais les propriétaires fournissent les bandes de fer, les dés, etc. M. Jessop , dans son rapport aux actionnaires de la route entre le canal navigable de PeakForest et celui de Cromford, compte 5o livres st. par mille pour les entrepreneurs de l'entretien du chemin et r,otio pour les frais d'administration, perception , etc. : ce qui fait, en tout, 16.
D'apis les devis de M. Jessop.