Statistique de l'industrie minérale et des appareils à vapeur (1937) [Image 65]

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18 BASSINS HOUILLERS ET LIGNITIFÊRES. COMBUSTIBLES SOLIDES. 19 des hydrocarbures, avec maximum entre 600 et 700°. Les bouilles onthraciteuses, des gaz à 75—78 p. 100 d’hydrogène {maximum de ÿoo à 800°). Les anthracites sont divisés par 111i en anthracites dégageant des gaz à ioo surtout entre et 800°, et peran- go p. d’hydrogène, 700 thracites dégageant de i’hydrogène et de de i’oxyde carbone, avec maximum au—dessus de 900°. Citons ies boghesds, ou charbons d’algues, qui donnent beaucoup d’huiies è. ia distiiiation. En France, on n’en connaît Mitan et dans ie iis Var donnent de ‘i o o ii- qu’à (épais {'Ëîegrsn). pins ' ’ tres d huiie à ie tonne, 'u ceux ou Var dérsbie. Le cennei—coai est 3. GLisszeiorrio-s autre variété de une I ‘ ' pouvant atteindre 5o o iitres. Leur u teneur en ' M. V. est 1, . . La teneur charbons spéciaur, à pen près inconnue France. es L . p ÿ -u Les . . . - . J, _ lignites possèdent . teneur -_ o . d a. oxygène plus forte que ies houiiies (comme ie montre ie tabieau, au début du chapitre). Ii en résuîte qu’à 1a distiiiation ils donnent de (d’eau de constitutlonn en proportion appréciahie (1 o p. 100 en moyenne]. En pratique, ies anaiyses que nous nous sommes procurées ne tiennent pas compte de cette eau de constitution, mais de i’eau à 1 05°. C’est de cette dernière qu’ii s’agit dans toutes nos analyses. L’eau de constitution est comprise dans les M. V. une en premier seulepoent Vorci anaiyse une de Barjac donnant l’eau de constitution : l h terreur . a que ies pour voistiies, donnons ie chiiïre cendres et nous déduites, eau et encore, à. sur sec. Par ailleurs, ie pourcentage de goudron brut à 1a distiiiation Fischer est assez variable. Voici, d’après Marcotte et divers renseignements, ie pourcentage de goudron anhydre : Nousty . . . . . . . ................................... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Manosqoe maigres Voglans... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . lâàläp.100 l3 p. 100 12 p. 100 .. A Lilre de 8p.100 . . ........................................... Serlat...... zoo. matières en dit pour ies houiiies est veiahie nous avons Saint-Loti : que il; p. cois près que iv'. V. varie assez peu iignites, et que ie chifi‘re ne peut guère sertir à une ciassificsiion. Be même, nous donnons si possihie ia teneur en soufre, parfois très forte, et ie pouvoir caiorifique, brut ou bien ce Manosque 1fsgras Eaù de constitution donnons nous Pour ies teneurs Entrevemes p. 4 — . 9.5 i 1.500 brut. = “mit e 1m1— D. comprend deux éléments : is. teneur en eau hygroscopique, zoo e11 très peu veriabie, générei, et l’eau absorbée par cepiiierité. L’eau s’éiimine par séchage (ie fignite se pulvérise d’odeurs}, mais îe produit a tôt fait de rèahsorher l’eau hygro- scopique. il existe cependant des iigeitesà peu près enhydres, comme nous aiions ie voir. Pour les entres, étant entendu que iiean hggroscopiqne varie de 8 à 16 zoo, c’est l’eau totaie à ia sortie de ie. mine que nous donnons. Cette eau de capiiierité présente des caractères de constance une même remarquabies, pour espèce de charbons, näyent subi aucuïi séchage, et c’est eiîe qui au de importe point "me pratique encore que i’on puisse io. réduire par séchage à l’air, mais en détruisent ia du charbon (en pratique donc, on ne ie fait pas). compacité en eau Audeüflinermis] Manosque - c_ î.5—20,6 ‘ Densité: 3.7- P_ (Li-ELÆ cons}. — . ara—on Iv Administietivement, ie ternie eiigniten représente ies cÎoeriJons o âge secondaire et tertiaire. Pratiquement, ie distinction nie iignite d’après les caractères chl- ne peut être n‘oques étant prise pour base, les gi u) oments français oour iescneis ii v a ambig’ trop peu importants pour que i’on ait ét‘idié 12. question. Parmi ces charbons d’âge récent, i1 est évident que ceræins doivent être rangés pores ies bovines (Inde—Chine, Nooïeiieuflaiédonie). Mais, dans nos régions, ii se trouve que seuls certains combustibles triasiques et jurassiques peuvent prêter à confusion, et que tous les charbons pins récents sont diflérents des bouilles. ose Liosirss. GEN DRES. . . . . . . Houilles fiflmhmtes 3,2 p; Ioo .. Canal C931 7,3 p. 100 . comparaison ‘ : 9 à 12 P' 10°- 2g P‘ 100' = 6313.1130 6 p.100 .. .. 2,5p.100 . h Génemîement’ I - isibie) jours très âlsposons mus me . Pas dianal‘rses éiémefltmres, . c l “'“. 0+3: '“‘“ Laioque Fmau . . . _ Basses—.äipeg . . _ . . _ . . , . . _ . . _ . . _ mous : J . . . . . . . . _ . . , . . _ . . _ . . _ . . , . . _ . . _ . . _ . . h . . _ . . . . . . . . _ . . ‘ . . _ . . _ . . _ _ _ E H, T’i 29 738 , 72,1 9 n M, m5 EssÊpns posse 1 _ seulement (N est tw- r1. donc ” ‘a oe Classer les . î' ‘c i ’a ira ças d pros ie peu ' ngmtes i 5,3 renselg nements qu e nous ons. _ _ se - Nous remarquons de suite que ies trois premiers gisements possèdent un charbon dont l’ana- lyse est identique, mais assez différente des autres iignites. Esportons sur un graphique, avec i’humzdlte et M. Y. e. d. en coordonnées, ies div rses seegses de ngnites assez recentes dont a Ëg 1 n, ' ‘ _ " Lignm de divers m‘es \. ‘ 5L1" “me” PŒJ- [anaïïm nous les 3.113.358: de d’eau environ. ' ‘ -' peine iignitzferes) À__ nu estrès grasses. Examinons d f d:SPOSOuSE\2 v ' e «L5 . . Bassins _ M __ ‘ , H s , etzeîn abord l même ' à titre teînps. {.ombnouibies à Mr!_ La: l I . 1 qui; f, ' delcomparaison, moins de 1 g- 5 p. i oo ,