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CARDONATi'.
20 SUR LES CRISTAUX DE CUIVRE roche, ou du moins également répartie dans la renferment. Si dans chacune -des assises qui en on ne voit elle s'est infiltrée postérieurement, les vides que suppas comment elle a pu trouver
Je poserait la pureté d'une partie des masses. Après la difficulté. ne fais, au reste, qu'indiquer du cas particulier les Conditions avoir biefl pesé autres cas -,dont il s'agit, et celles de plusieurs analogues, j'avoue ,qu'on doit regarder comme matières métalliques dans -'que l'intervention des paraît jusqu'à les terrains de transport ne me explication satis..présent snSceptible d'aucune faisante.
RAPPORT S Un
LES RECHERCHES ET LES ESSAIS DE LA
MINE D'ÉTAIN ,DE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE-INFERIEURE ;
PAR. MM. JUNCKER et DUFRENOY, ,Aspirans au Corps royal des Mines.
L A partie du département de la Loire Inférieure qui vient d'être l'objet de nos recherches,
est limitée au midi par l'embouchure de la
Loire ; au nord par celle de la Vilaine; à l'est
,.par les marais tourbeux de Montoir; et à --l'ouest par la
mer. A l'exception d'une petite chaîne de collines qui s'étend de Saint - Nazaire peu au -.delà de -Guérande, et qui forme la digue occidentale des marais que nous venons de citer, cet espace est extrêmement plat, et particulièrement la pointe Piriac. La nature du sol est entièrement mas-. quée par une couche plus ou moins épaisse de terre végétale ou de gravier, qui n'est déchirée par aucun cours d'eau, par aucun ravin. On n'y remarque aucun de ces accidens qui puissent - ou charmer - les yeux du voyageur ou attirer l'attention du géologue; aussi n'est-il pas étonnant que la découverte des richesses que ce terraiii paraît recéler soit si récente , et due' presque au hasard.