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makciir smicEusE
LU MONT-DORe
tasse caustique, toutes ont fait gelée avec cide hydrochlorique très - étendu d'eau. Cette gelée a été évaporée à siccité, délayée avec de l'eau et décantée. La liqueur obtenue a fourni des précipités abondans, d'abord par l'hydro-
est un sbns-sulfate d'alumine fortement hydraté et sans potasse (1). Si on -veut maintenant envisager la connaissance des principes chimiques de la brèehe du Mont-Dore, sous le point de vue économique, on se demandera s'il est à présumer que cette .hrèche constitue un gîte exploitable. La solution de cette question est de quelque intérêt; il .existe en Europe, et particulièrement en France, un grandnombre de fabriques d'alun. Quel que
chlorate de baryte, et ensuite par l'ammoniaque. Éprouvés .par la simple torréfaction, on en a dégagé de l'acide sulfureux puis on a obtenu de l'alun. LI paraît, d'après ces essais, que les substances résultant des transmutations que les vapeurs sulfureuses opèrent dans les terrains volcaniques, peuvent. rationnellement se placer dans les classifications minéralogiques, et qu'elles doivent y prendre rang en qualité de sous-sulfates d'alumine et de potasse silicifères. Ici je ne dois pas omettre de dire que les observations de Bergman sur la lave qui porte les efflores-
cences alumineuses qu'on recueille à la près Naples, auraient dû depuis longSolfatare, temps faire préjuger les résultats dont je viens de-rendre compte. Cette lave altérée est composée comme les précédentes.
En opérant, du reste, là réunion que je propose , il ne faudra pas l'étendre aux résidus polvérulens de la vitriolisation des roches volcaniques , résidus dont nous avons un exemple
fort remarquable dans la belle terre blanche
qui occupe en partie la -capacité du cratère qui termine le Pic de Ténériffe. Leur composition présente des différences sensibles, que je n'ai point encore assez examinées. On ne devra pas non plus confondre le minéral nommé d'abord alumine de Halle 'et ses analogues. D'après MM. Simon, Buebolz et Stromeyer, ce minéral
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soit le minerai employé ou le procédé suivi
dans ces fabriques, les produits ne sont point eri-
.core parvenus à rivaliser complétement avec ceux de la Tolfa et de Montione , au gré du. moins d'un assez gralid nombre de consomma-
teurs. D'après les prix courons de 1818 pour la place de Paris, ces derniers aluns, que l'on confond sous le nom d'aluns de Borne, valent -
an quintal métrique 99 fr., ceux de Liéo-e 73 fr., et ceux dits de Paris, 62 fr. Les die-
rences sont énormes; elles tiennent à des causes très-compliquées, au nombre desquelles il faut placer en première ligne, d'une part, La routine aveugle et les préjugés des consommateurs de l'autre la qualité nécessairement invariable et la constante homogénéité des produits que fournit le minerai de la Tolfa. Quoi qu'il en soit, il y a un si grand avantage à faire de l'alun de Rome à Paris, ou, pour s'exprimer avec plus (l'exactitude, à en imiter les caractères exté(i) D'après M. Stromeyer, ce minéral contient., savoir: la variété de Halle.
Acide sulfurique. Alumine Eau.
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23,565 30,265 46,572
de Newhaven,
23,370 29,868 46,762