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SOUirri.rs-
prochés.
On peut remarquer : 10. que lai maSgé.
d'air qui entre à chaque aspiration partielle
n'étant pas la moitié de celle (Jul entrerait dans un soufflet ordinaire de mêmes dimensions, ce n'est qu'eu accélérant le mouvement de la bran-
loire que l'on peut faire passer nu plus grand volume d'air 'à travers le nouveau soufflet; 20: que si l'on obtient avec ce dernier un courant uniforme reconnue avantageux sur-tout
pour les petits feux), on peut en approcher avec. lé soufflet ordinaire en mettant siinplemeht sur son derrière une charge qui conserve à l'air dans
le réservoir, au moins une pression donnée ;
30. enfin pie ce nouveau soufflet coûtant davan-
tage, étant plus sujet à-des réparations, étant d'un service plus fatigant, ses avantages ne
l'emportent pas assez sur ses inconvéniens pouf qu'on puisse le préférer au soufflet ordinaire:
Soelet (R). Fig. 5e. et 4e. (1) C'est à un ouvrier mécanicien de Rennes
(Rabier), qu'on doit l'invention de ce soufflet:. Sa machine est composée de trois parties A, B, C, séparées par deux diaphragmes (h) et (c) dont l'un (h) est mobile autour d'une charnière
en (o); les fûts (a) et (c) sont fixes.
Les
poches A, B, communiquent ro. avec l'air extéchaeune au moyen de deux upapes (in,m1),(n,c1); c'est dans l'épaisseur de la plandie (h) que les comnainications dé (n,iii) sont pratiquées ; 2°. avec le réservoir (C), au moyen dés soupapes (p,pf)(q,qt). Ainsi, par le mouvement du diaphragme (b), l'air étant comprimé (i) L'inventeur a demandé un brevet d'invention pour ce xoufflet:
9,7S
4airs l'une des deux poches, par exemple dans celle de (A), en même temps qu'il dans l'autre (B), les deux soupapes est raréfié accouplées (m),mr) sont fermées,- tandis que celles (ri sont ouvertes ; (q,q!) fermées et (p,p') ouvertes.; pour le mouvement rétrograde du diaphragmes, il est facile de voir que ce serait lé Le fût supérieur (e) est d'ailleurscontraire; comme dans les soufflets ordinaires. mobile
L'inventeur a pratiqué dans ce fût (e) des ouvertures qu'il ferme à volonté au moyeu d'un è coulisse ; il dispose ainsi de la pression de l'air dans le réservoir sans gêner le souftien'. Soufflet (ii) est supérieur au soufflet (L)
sous le rapport de l'entretien de la machine, la facilité du service et de l'effet produit. Il de porte sur le soufflet ordinaire parce que, comme machine à double effet, il fournit une quantité d'air double, les dimensions des machines et la vitesse de là branloire étant égales dé part et d'autre. ;-;-- On lui reproche quelques inconvéniens, tels que le grand nombre de soupapes la mauvaise disposition de celles sur le devant (p,pf), l'emploi d'un contre-poids plus forts etc Soufflet (M),5e. et 6e. Les avantages dont paraîtrait jouir té soufflet, qui se rapproche beaucoup du soufflet (R), peuvent être considérés sous deux points de vue : sou S' le rapport de la simplicité et de la solidité de la machine ; 20. sous le rapport de l'effet à produire. Io. Le réservoir
étant sur le devant en (C), lè fût inférieur (a) et celui supérieur (e) étant fixes, le diaphragmé
Tome Ir, 2°.