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SUR-.LE GYPSE
température , ne change.-pas' beaucoup,
restent pendant ant torAtongrtempsà1!..état de parfaite consel var ion., Cette altération de l'anhydrite a lieu égaHemr.111-4ns les rochers qui se présentent au jour,mais avec moins d'intensité. La pression que toutes les parties; éprdnvent mutuellement à raison de leur poids ,.empéche qu'elles ne se désagrègent complétement, et ne se réduisent ensable; elles ne font ciné se fendiller s'écarter l'une de l'autre; mis l'eau venant et à s'introduire dans les petites fissures qui se sont ainsi forinées dans les, masses de l'anhydrite , et en se combinant. a vee ont' u'elle n'entraîne pas, elle le change ,partie en' g5.pse 'hydrate' e:pigène et le rend susceptible d'être .rdnverti en plâtre. ,Cette désagrégation des particules des roches d'anhy:drite et l'absorption d'eau qui en est la suite produisent un effet très-marqué sur tout Vette. .einhfe des caractères deCette leur grise se change en blanc,substance. Sa câtil qui quelquefois est .d'une grande pureté ; sa transparence dis, minue beaucoup ainsi que son éclat ; là beaucoup Moins distinctement lameilense eastiest et devient même ,
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gulièrement l'aspect de la roche, on peut néanmoins le plus souvent reconnaître encore de quelle variété d'anhydrite provient chaque variété de gypse hy.lraté épigène. Ce fait s'observe le plus facilement dans le gypse hydraté épigène
qui résulté -de l'anhydrite laminaire, dont le clivage rectangulaire, toujours bien prononcé, se conserve même dans cet état d'altération. On trouve même des échantillons dans lesquels on peut suivre h l'oeil ce changement de l'anhydrite en gypse -hydraté épigène. 11 résulte de la proprié te qtra l'anhydrite de se changer en chaux sulfatée épigène, par l'alternative de l'humidité et de la sécheresse , du chaud et du froid, que tout notre gypse est à l'état de gypse hydraté épigène,
à la surface du terrain, ou bien quand il n'est recouvert que par du gazon Ou par des rochers de transport. On ne le rencontre à l'état d'anhydrite que-dans l'intérieur de là montagne, et aussi dais deslieux escarpés, où les éboule-mens découvrent sans cesse son intérieur, comme à Suhl;n , au Bouillet et en quelques autres en-
droits. Dans toutes les galeries que nous avons
terreuse ;: la roche perd en dureté et souvent gagne en't tenaCité-T-elle se gonfle, les stilàtés se -deliterittét se contournent; sans cepentIont se briser-nu Se rompre ; il s'en
poussées depuis le jour dans le gypse, nous
rapideMent.;.,Ce gdnflement de l'anhydrite,éSt très-seneiWe dans: les anciennes galeries mil sçêëà
longement. d'un même strate. Au contraire-, d-us l'intérieur ,dela montagne, au-delà des dis=; tances du jour gui viennent d'être indiquées, on ni jamais trouvé de gypse hydraté épigène. eavaiS élut;ilestyttai;spéndant long-temps, que
lè.vedes,-troûtes bombées, sembia hies à.éé.s bon rsou :fluees quo l'oft.rerriarq ue su r le pairecnit-lèbp dans cette iroc h e ;rftrir yr-tinuve des bdà rs-cniffiees foffl e.n qne saillie ernittiefér-able )stible4 parois,ide714..igeerie, qd'ellesrtnbstritefit-,preÉreë
4 passage.,-Quoigue cette altét.nieti éhàiigeSie't
avons observé-gué-cette roche était du gypse hydraté.épigène à la surface du terrain, et jusqu'à 6b et même loo pieds du jour ;. il est superflu d'observer que cette altération à lieu non-seulemeut sur des strates différens , mais sur le pro,
le .gypeAlyclegtéi,c,4 ut se rencontre en petite