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SUR lE GYPSE DE Bill;
Le terrain primitif ne se montre à découvert que sur une très-petite étendue. Il est composé principalement de roches feldspathiques. Le calcaire forme la masse principale de ce terrain de transition. On y trouve eu couches subordonnées, du gypse du schiste argileux, de la grauvvack.e, des poudingues et des brèches. Le calcaire qui renferme immédiatement le gypse , est très-argileux et carburé. 7 ). Il est tantôt compacte, tantôt schisteux. Le gypse.est, dans l'intérieur, de l'anhydrite, et à la surface du sol, du gypse hydrate épi gène.
Il renferme des couches de calcaire compacte siliceux de schiste argileux., de grauvvacke , et des rognons de gypse hydraté ordinaire. Io ). Le gypse et les roches qui lui sont intercalées renferment fréquemment du sel gemme. ). Enfin le gypse forme deux couches fort épaisses dans le calcaire de transition, dont la plus basse est la plus étendue.
NOTICE SU R
LE TRAITEMENT DU FER PAR LA HOUILLE, PRATIQUÉ EN ANGLETERRE.
Extrait du Bulletin fie la Société d'Encouragement, octobre 18a8, page 322 et suivantes.
10 .RéD UC7'.I ON de la houille en coak, Cette opération se fait ordinairement à l'air libre; on forme d'abord cinq piliers, composés chacun de six briques posées à plat, et ayant leur longueur dans la direction d'un cercle, tel, qu'elles laissent au milieu un espace vide, circulaire,
d'environ i pied de diamètre;
bien on les place dans un cercle tracé, de 3oou pouces de diamètre; on élève ensuite, sur ces piliers espacés
également et en croisant successivement des briques, entre lesquelles ou ne laisse que ,trèspeu d'intervalle, et on forme ainsi un cône tronqué, de 5 pieds et demi à 4 pieds de haut, posé sur sa base, et dont la troncature a 6 pouces d'ouverture. C'est autour de cette petite construction , toute en briques sèches, que se range la houille, d'abord en très-gros morceaux ; allume ensuite, à une hauteur moyenne, et on couvre successivement, de manière que la combustion lente du charbon, ou sa réduction en coak., ait lieu à flamme renversée, au moyen d'un courant d'air qui vient de l'extérieur pion-ger entre les piliers pour passer dans le cône qui sert de cheminée. Le tas s'augmente prodigieusement par les charges successives; lorsqu'on Tome Ir. 4e. livr.