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SUE LES ENGRE AGIS.
en retranchant cette somme de celle cède, la différence
qui la pré.
SUITE DU MÉMOIkE -
SUR
(-17
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LES MINES D'ÉTAIN DE S 4A-11É-(1.);
est essentiellement positive, quel que soit y; c'est ce qui vérifie ce que le calcul des variations avait indiqué.
PAR M.
Il resterait à résoudre la même question relativement aufrottement des dents dans les engrenages coniques; mais cette recherche
MINESIYÉTAIN DE MARIENBERG.
nécessairement à des résultats analoguesconduirait aux précédens, et 'nous croyons pouvoir nourdispenser de l'entreprendre.
MANÈS, Ingénieur au'Cdri)s royal -des Mines.
LÀ contrée de Marienber,_g offre une foule de
plateaux plus ou moins élevés, séparés entre eux par autant de ravins : les uns, peu profonds, qui reçoivent de petits ruisseaux, formant par leur réunion des étangs qu'on utilise pour les fonderies; les autres, profonds, escarpés, arrosés par des ruisseaux
Aspect PhYsique
plus forts, qui se rendent dane-
la petite rivière de la Bockau. On récolte beaucoup de grain sur les plateaux et du foin dans les bas-fonds. Le penchant des
collines est couvert de sapins ; il y en a aussi sur les hauteurs, mais disposés de loin en loin et toujours en petites masses.
Tous les environs de Marienberg sont formés Constitution d'un gneiss composé de beaucoup de quarz gri- en°giVe sâtre, peu de mica noirâtre ou brunâtre, en petites paillettes entrelacées, et très-peu de feldspath jaunâtre à l'état terreux. Dans ce gneiss, on trouve, 10. des couches
de feldspath blanc cristallin avec cristaux de tourmaline, près Boberschau ; 2°. des bancs de (1) Voyez , tome de ce Mémoire.
VIII de ce recueil, le commencement