Annales des Mines (1824, série 1, volume 9) [Image 337]

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66o SUR LA COMBINAISON M. Berzeliiis::eompare:avec

raison,,à l'extractif, ,tel qu'on le retire4efEhternus oudes terres langées de dgbris d'animaux et de Végétaux mé,

finjune autre difficulté ,résulte de

661

FEB, 4:37Fc IL CARBONr.

en.

divers.composés de fer et de carbone,ce que les dont les prqportions sont définies , «lei se trouvent dissons dans 'aimasse de fer, ne peuvent êtreobte, nuS-,parfaitement purs, puisqu'au momentmême

où ils sont séparés du métal ils éprouveatilej

une décomposition. gRneajp,préçier la nature de la combinaisonflà

fer,ree Jçcarbone, il faut non-seulemént détet, miner la proportion des élémens, mais aussii> diqm'erRtat.du carbone contenu dans le métal.,

yot--re 4ut es .de rassembler etidecompatei

entre eitx,tous les phénomènes qüe présente le fer dans ses différens états métalliques, pendant

les,Chatides, le refroidissement, la fusion, la disselutionidans les acides, ou la décom position opérée de -pinte autre manière; nous croyons vil est

trèsrimportant de présenter ici l'ensemble des faits qui,, dans le travail du fer, peuvent jeter quelque lumière sur la nature de sa composi7

t.,i9n4r474utant plus qu'une partie de ces faits oit

échappé souvent à l'attention des chimistes.

L Phéti6»zènes que présente le fer pendanek): chaudes. Le fer ductile, chauffé au rouge avec ou sans le contact du charbon , conserve ses propriétés après le refroidissement ; mais,exposé' à la cha7 len,q2lanche, au milieu des charbons, il .neile mot,k,quei dans Je cas où il se refrnAtaVec ilettr

teur : plongé dur, al'état d'incaridèscelans d'eau, ou refroidi subitement d'une autrermeiere,

il acquiert durée et

o

..pc I plus. 'Mi IfirrOÎfieit..fliffé

rillteTISité?dê1edlalieelJ91 -I

ra

F

J,

Le fer le plus-titfifilljet le prurteiidde' devient cassant, et semblïe' avoir perdu 1,-Serelffe. d8 sion

lorsqu'il a été soumis long-teriilieWerfilKeti'

des charbons

à la chaleur-blancheljflf-

prend sa ténacité par des chaudeedeiiiüéek &ris attlfieonvert et parle corroyage .furefroidi'Pen..

tent, il reste doux; mais, chauffUde nouveau,

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rd:evient

et soumis à un refroidissement subit clUret- aigre : on

sait que ce fer reçeflerienn

Werde cémentation. Le passage dé eitâtqlbilx 'aetat dur '-est toujours accompagtiraluil ChWe génientdanscla couleur et même

darieletIedre

,

si la chaude :qui précède la trempe' a!êt-4 fitlfitàée jusqu'à la chaleur blanche. Avant la trerdpe ; la

texture est à gros grains blancs et brilleis , l'aigreur du métal est si prononcée;qterlaisSë piler et réduire en poudre ; "dans cet1,-étkt9'-'illa

perdu une partie de sa soudabilitéeeefiqe asubi la trèmpe a pris une couleur phiS':elairé: Vacier de cémentation perd d'autant phig'délia!

propriété de se durcir par la trempe , qu'ittiSt chauffé un plus grand nombre defois dans un feu ouvert; l'acier naturel, préparé avec de la foute, peut soutenir cette épreuve plus longtemps; Mais l'acier fondu les surpasse tous les deux sousce rapport. L'acierfondu , obtenu en vaisseauxù,Clbs , soit avec ç.lell'acier de cémentation , sciii`JaVec des

acierekforge, est toujours rnoinP.Miidable', et devierit'eus dur par la trempe qtle l'aciergiui a erVi à le préparer lors même que l'acier fondu est chauffé à utvmoindre degré que Vautre. I;47eier de cémentation qui se laisse SOuder asSez