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SUR LES TÉRRAINS -
vante, la première machine à vapeur 'qui ait été employée, en France, à sortir de la houille au jour. Depuis cette époque, trois nouvelles machines du même genre ont été placées sur divers puits de l'établissement.
Le second bassin houiller est au nord du
premier. Sa largeur moyenne n'est guère que de 6o mètres, et il.e,reente-jiisqu'à présent, presque la forme d'unt:-PC'tgt-Clans cette partie de , l'exploitation que se trouve te puits du Carnet,
dont il a étérfe, rrieeion ci-dessus, ainsi que deux autres par:MS.quel,4 extrait de la houille.
Dans un puits de recherches ouvert à Gô-
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DU DÉPARTEMENT DU CALVADOS.
grains de quarz vitreux, et plus rarement de phtanite ; le tout est uni par un ciment de grès houiller, qui est assez souvent mélangé de lamelles de spath calcaire un peu nacré. Il renferme dans quelques parties des troncs d'arbre silicifiés. On en trouve presque toujours un ou deux bancs ayant ensemble de 2 à 5 mètres d'épaisseur, à peu de distance àu-dessus de la couche de houille exploitée.()
Coupe de la partie inei,teure di:byuits du Carnet ouvert en
i82,6213/Eribelle9dhôtaitiiitIn;,.,827.
ville, on a rencontré. un banc de poudingue, que
Je,. à 18 inclusivenaprensd Él>pi.nlipemyrr- -95'1)60 19e. Schiste brun amp,get 409 mélyiv de
mètres sans en 'aViiietrouvé la fin ; ce qui a forcé d'abandonner les:travaux entrepris sur ce point,
,8o 20e. Poudingue... feldspaddiPé-, blandatle,faltérée, 21e. Roche renfermant des fragmens de calcédoine et de quarz hyalin, avec des rognons d'argile endurcie, grisàtre ou noirâtre. . 5 8o 22e. Idem, grisà.tre ou rougeâtre.
l'on a trafflegttitie ép'aîàSeur d'environ 65 après être -parvenu à une profondeur totale de 254 mètres. Les galets nécessaires pour former une masse aussi énorme de poudingue n'ont pu être produits que par un courant d'eau considérable qui passait au pied du coteau de Montmi-
rel. Le coteau de Montmirel est entièrement formé de couches d'un pétrosilex verdâtre, pas-
sant quelquefois au porphyre quarzifère. La quantité de galets qui s'était amassée au pied de
ce coteau semble prouver que la roche qui le compose existait antérieurement à la formation du terrain houiller, et se dirigeait vraisemblablement ensuite vers la partie où coule maintenant le ruisseau de Gôville.
Le poudingue du terrain houiller est composé de hoyaux, souvent très-volumineux, de quarz grenu, de quarz gras, grisdtre ou verdâtre,
de noyaux moins gros, de feldspath altéré, de
2 ,6o
houille
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io6m)8o
23e. Trois couches presque verticales de trosilex passant quelquefois au Arphyret,
8o
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Le terrain hoililler est borné aJu mieet au sud-ouest par le terrain intermédiaire, au levaut et au nord-est par le lias; il se prolonge vers le rffird-ouest jusqu'au Plessis, dans le, départemeni de la Manche. Il est presque partout recouvert par le grès rouge. par leealcaire magnésifère, par le grès bigarré ou par. des al-
luvions ;)'il est'inême probable qu'il passeb seusi les mare tourbeux de Carentan. Son existences. a été reconnue à Moon, arrondissement de Saint-