Annales des Mines (1828, série 2, volume 3) [Image 198]

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SUR Ln. RÉS ISTANCI?, DE L'AIR

DANS DES TUYAUX DE CONDUITE.

séquence, j'invitai M. Lefebvre, alors ingénieur à la station de Rancie, à s'occuper du projet et du devis de cet appareil. Il proposa de construire

que les molécules fluides ont aussi entre elles le retard, tout en diminuant, .se communique de proche en proche, aux couches adjacentes9étitus-

une trompe, la machine soufflante en usage dans le pays, et d'y adapter une conduite en tuyaux de fer-blanc. Il me transmit son travail jed'approirvai,, avec quelques légères modifica-1110110, et, eumVadressaat à 1V1j4e Directeur général

eedeepontsetbhkussées laudeA mines, je représentai ilsergieèoiivduàblq (41e=sa isi r cette occa-

lreioncniftinueraip.itp. diteedieehir à plus de quatre ikeept$Inètrgilp-cligifpiiàiiptuel,ques expériences sur islad,imilWeiroodliffente 4u%116kArent éprouve dans

-des ,cântdiailal)enaslactigniiitodieia machine qui le

uprodui4 questiomlir plue haut intérêt dans l'art .des' mines et IdestiSin es)meiallurgiqu es. -01ig qiLt no.vembre 42.3.,,iM. le Directeur général, .5.9uiriiliamis4m, conseil ;général des mines, autorisa

iql'établissenient du ventilateur; et il témoigna en ?.quéme temps le désir que l'on fit les expériences -iiproposées, en remarquant que les connaissances DpErui pourraient en résulter seraient très-avanta-tigeusesilans la pratique de l'exploitation des mines. Tantaijidon n'était occupé que du percement de la galefie,B-ecquey, on pouvait se passer du ventila-

.effiwee'sqrrétablissement fut différé: on n'y procriaé4arqddLp825 ; et, au mois de juillet, je me 3fre.tinikaciie, tesolietix pour y faire les expériences 91deupagdOSL.InIb

ImPorLanceeig hlieidularrête quelques instans sur le degré d" exPé7-.9dciiiilitéidiontielles pouvaient être.

riences` lap?)L'ainlqcoiume tous les fluides, en se mouvant

dusituyaux de conduite, adhère à leurs paturigisuCemiadhésion retarde le mouvement de la ucotiche quaéprouve, et en raison de l'adhérence

qu'au filet central?,;. lai masse totale teeorneutuen conséquence moiust';vite, et elle peultqmême être comme arrêtée. ,La,. connaissance cette diminution de vitesse, et4 par suite, de lareliiminu-

tion dansy4)14PaPtitéiAzindourniepe) Jacondinte , est du ,,p_14$1 pied eiittéehtddele ÉVarteAes mines, sous le rapperit riterllairdgeg)ellenikitntout au tant pour les eliigkesii>liiiiio-rteniiirin maitre de forges de savolepjuftài atnoeilrpeut éloigner ses feawaideLl 9ntaslhihentiçinifflante4:;;.et

quelle est la dtiltPeiltfin ipla)insioquédespdimensions à donner àiJeal eggi uitefinumi-e easepro uirn auti ver une trop graWe pertede veiltà9 3. Jusqu dl,,àuen quait initièremeUt *lé no-

État de la

tions et de règlestàlee_sujetizle peu cl"expéitionces

question.

qui auraient pu,le,s,lui fournir était hue et

même contradictoire. En généralfwAilans-imos usines, on regardait tout éloignement,delp.rmachine soufflante comme très-préjudiciable-Cette _

opinion semblait confirmée par une experieneek,attribuée à un célèbre métallurgiste, WilliensEd , et

rapportée par un célèbre mécaniçieni,9Bager, dans sa Théorie des soufflets cylindriques anglais: il v" est dit qu'on avait établi, en Angleterrevune

conduite de 1524 mètres de long ,,dorméeïde tuyaux en fonte de 0in,305 de diamètresLquè le

vent fut donné par une forte, machine à pistons, et que , bien que l'extrérnité..filiueinièrement ouverte , il n'y parvint paslephis léger souffle ; que la roue motrice, ne pouvant forcer l'air à passer par cette conduite, s'arrêta au bout de quelque temps : M. Baader ajoute que la con-

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