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doit être considérée lorsqu'on veut conclure rd: fet dont elle est susceptible. Cependant, dans la mécanique usuelle, nous devons encore considérer les machines dans une certaine étendue en deçà et au delà du point de perfection, et cette étendue est limitée par l'Objet auquel la machine est destinée :- par -exemple , une trompe
établie pour une forge catalane opérera avec
une buse de 3o à 4o millimètres de diamètre, et sous une hauteur manométrique de 55 à 7o millimètres; hors de ces limites et sur-tout loin d'elles, toute considération est aussi insignifiante en théorie que dans la pratique. Si une trompe est faite pour recevoir un gros volume d'eau , il serait oiseux de s'occuper de l'effet produit par un filet de ce fluide : la théorie, applicable à un orifice ordinaire, ne l'est plus à un orifice réduit outre mesure. Par suite de cette observation dans l'estimation des rapports , 'on doit se dispenser d'avoir égard a celles de nos expériences qui ont été faites ou avec une trop petite quantité d'eau, ou avec un .trop petit orifice. Laissant., en conséquence, celles où la quantité demi a:été moindre de 0,0189 met. cub., et où l'orifice a été au-dessous de 0,001 mèt. car. , et afin de rendre plus sensible le rapport qu'il y a entre les quantités d'eau dépensées et les hauteurs manométriques avec le même orifice, faisant commencer toutes les séries par l'unité nous aurons le tableau de comparaison qui suit :
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AUX MINES DE RANCIE.
-EXPI;.RIENCES SUR UNE TROMPE Ne=
MAN0MÉTI1E, l'orifice étant dd: EA11. dé-
pensée. 0,0020 0,00IS
1 1oo 0,79
, oo
1, 00
81
0,76
1o,
0,60 o, 63 0, 42 o, 40 0,21 0,19
o, 6
o,38 . .
o,00iG
0,0014
00
1,00 0,75 0,58 0,37
1
0,78 0,59 o,38 0,27
0,0012
0,0010
, 00
1, 00
0,76
0, 79
0,59 0,37
0,59 0,36 0,15
1
Ce tableau montre que les quantités d'eau dépensées sont proportionnelles aux hauteurs manométriques correspondantes. Le rapport est aussi bien soutenu qu'il était possible dans des expériences de cette nature , tant que la dépense en eau n'a pas diminué de moitié : au delà,
on remarque une diminution dans les indications du manomètre; elle devient de plus en plus
sensible à mesure que les orifices diminuent mais là on a atteint les limites que la pratique ne doit pas dépasser. Cette proportionnalité entre l'eau dépensée et la
hauteur du manomètre nie semble cependant contraire à la théorie ordinaire. A chute égale, la force est proportionnelle à la quantité d'eau dépensée, et l'effet produit, entre des limites peu éloignées du maximum, semble devoir être proportionnel à la force. Dans une machine soufflante, cet effet est représenté par la masse d'air soufflée ( produit de l'aire de l'orifice par la vitesse de sortie ), multipliée par la hauteur due à