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EXPIhUENCES sua UNE TROUPE, etc.
nant comme du tablier, se dirigeait directement vers lui, et il s'établissait un fort courant, qui entraînait les gouttelettes; mais lorsqu'on rétrécissait l'orifice, le courant cessait d'être direct:, l'air se répandait clans la tonne, les gouttes se déposaient, et le vent ne sortait plus que par suite de la force élastique de la masse générale de l'air. Le fait s'est reproduit dans nos expériences sur la conduite du ventilateur, et nous avons vu, ra-
rement à la vérité, sortir des courans d'eau de son extrémité, et cependant l'air qui les apportait avait passé par deux coudes de 9o°, et deux coudes de 135'; il avait parcouru 86 mètres, et s'était élevé de io mètres avant d'arriver à la galerie Becquey; dans cette galerie, et toujours en montant, il avait suivi 3or mètres de conduite.
Il est certainement extraordinaire de voir un
courant d'air se saisir de la forte bruine ou plutôt de la très-forte pluie qui a lieu au-dessus du tablier d'une trompe, la porter à 387 mètres de distance, sans l'abandonner dans la route étroite, longue, tortueuse et ascendante qu'il avait à parcourir; mais le fait est très-positif; et il doit être pris en considération par les ingénieurs qui auront des trompes à établir. ERRATA.
Pour le mémoire sur la résistance de l'air clans les conduites ( Annales des Mines, 2'. série, t. III. ) Page 437, lig. 28 air, lisez aire. Page 438, lig. 9 =, lisez V. Page 46o, lig. io air, lisez aire. Page 471, lig. 31
Page 472, lig. Page 472, lig. 3
(H)i, lisez (H' 3 2 (Mi, lisez (H' )7. h', lisez h.
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De la formation da la fonte blanche lanzelleuse propre à la fabrication de acier, etc. ; Par M. STENGEL, Directeur de la forge de Harnm.
(EXtrait de plusieurs mémoires insérés dans les Archives de M. Karsten , tome 1X, p. 255; tome XIII, p. 232 ; idem, page 254, et tome XV, page 177. ) NOTA. Les nombreuses recherches expérimentales de M. Stenget , les faits particuliers et fort intéressans que renferment ses mémoires ; enfin, les conséquences qui résultent de ses observations relativeMent à la formation des fontes pour acier, pouvant donner beaucoup d'indications précieuses pour diriger les hauts-fourneaux où l'on traite le fer spathique , les hématites , et en général les minéraio de fer manganésifères, tels que ceux d'Allevard, de Baigorry , on doit regretter que les mémoires de ce métallurgiste ne soient pas publiés dans leur entier, et sur-tout qu'on ait tardé jusqu'à ce jour à les faire connaître en France. L'extrait que nous présentons ici aura toutefois l'avantage de présenter réunis, dans un certain nombre de paragraphes les faits et les principales considérations théoriques qui sont disséminés dans quatre mémoires, et les rapporteen seront plus faciles à saisir.
I. Des diverses espèces de fontes employée,s 4 lez]
- fabrication de l'acier.
Les célèbres fabriques d'acier du .,çonnté de Lamark emploient, depuis long-temps; des foutes particulières ( rohstahleisetz ) , qu'des,tWeot des
forges situées au pied du Wes!erwatUespr-
viennent d'un fer spat bique mangarresifere et-d'un
rninerai de fer oxidé brun, brauneisen .espece d'hématite brune plus ou moins riche en Oxide de manganèse, qui sont fondus dans des four, neaux dont la hauteur est de 21 pieds du Rhin ( 61'1,3o ). Cette fonte, dite à acier, se trouve T. .11-7, 5e. livr. 1828.