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ET DE L'AMPHIBOLE.
294 reconnaît aussi très-bien les formes du pyroxène. RÉUNION DU PYROXÈNE
Dans l'intérieur ils sont verts d'herbe, fortement translucides, et tellement durs qu'ils ne se laissent que faiblement rayer au couteau. Le clivage en est facile, et les sens des clivages se laissent assez Grünstein avec bien mesurer au goniomètre : on obtient encore cristaux de pyroxène ayant ici les angles du pyroxène. Les deux clivages pale clivage du rallèles aux faces M du prisme primitif sont les Pyroxène. plus faciles ; mais on retrouve aussi les clivages parallèles aux plans diagonaux. Près du village de Mostowaja , à 3o werstes au nord de Catharmenbourg, sur la route qui conduit à Newiansk , on rencontre un grünstein dont la pâte est aussi tendre que celle du précédent, mais plus translucide et d'un vert grisâtre. Elle pré. sente.aussi des cristaux à la manière des porphyres; et ces cristaux se laissent également bien enlever
et mesurer au goniomètre d'application. Ils ont exactement la forme du pyroxène comme ceux du grünstein précédent. Dans la cassure, ils sont d'un vert foncé; sur les bords ,. d'un vert clair, légèrement translucides et plus tendres que les GransteinavecpréCédens. On y remarque des clivages très-discristaux de talas; niais les faces de clivage sont tout-à-fait pyroxène ayant le clivage de uaterentes de celles du pyroxène : elles sont pa, radèles aux troncatures des arêtes M , oe. 2 ) et
font entre elles un angle de 52402= comme celles de l'amphibole. Les faces de clivage étant striées on ne peut mesurer les angles avec le goniomètre à réflexion qu'à l'aide d'une lumière; néanmoins, la mesure peut être regardée comme exacte puisqu'elle donne un angle qui diffère au plus de °, de celui de l'amphibole. Les cristaux sont donc de
l'amphibole ayant la forme du pyroxène, ou
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du pyroxène ayant les clivages de l'amphibole.
Un grünstein tout-à-fait semblable au précédent se trouve près des laveries de Cavellinski, la pâte est aux environs de Miask, seulement plus foncé, et elle plus dure; d'un vert grisâtre de cristaux. La cassure retient plus fortement les à celle des préceux-ci ressemble parfaitement cédens ; le clivage en est également facile, et les deux sens de clivage qu'on y observe seuls, et qu'on peut aisément mesurer, sont parallèles aux Laces verticales de l'amphibole. Quant à la forme extérieure on ne peut la déterminer rigoureusement, mais la figure des sections de cristaux, produites par la cassure de la roche, ne permet Il pas de méconnaître la forme du pyroxène.suicristaux soient cassés n'est pas rare que les vant une face de clivage ; la figure de la secsymétrique tion est alors un hexagone non deux côtés opfig. 4, strié parallèlement aux intersections des faces M. posés , parallèles aux 23'; il est L'angle au-dessus des stries est de 127° sections donc beaucoup plus aigu que celui des semblables faites dans les cristaux d'amphibole s'accorde au des grünsteins de Pitatelewski, et il contraire avec celui des sections faites dans les La diffécristaux des grünsteins de Mostowaja. trouvé pour les rence entre l'angle de 156° 3o' 23' qui cristaux de Pitatelewski, et celui de 12-2° est une se rapporte aux cristaux de Cavellinski, conséquence de ce que le biseau -s du pyroxène est plus aigu que le biseau -r de l'amphibole. La étant trèscassure des cristaux. de Cavellinski papier un
nette, on peut découper sur un