Annales des Mines (1832, série 3, volume 3) [Image 138]

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MÉCANIQUE..

.côté de "'orifice l'effet de la contraction. Les deux

parois verticales du canal sont dam: le prolongement des côtés de .cet orifice. On est ici dans

les mêmes circonstances que pour la roue de Toulouse.1 n'y a donc de contraction que sur le sommet de l'orifice, et, la fausse vanne étant inclinée à 400, le coefficient de contraction sera de o,75 -dlaprès M. Poncelet.La longueur libre de l'orifice est de 2m, 28. La profondeur des augetsétant, .dans le sens du .rayon,,de om,33, et le diamètre extérieur -étant 16m,5o,,celuide la circonférence moyenne des aubes sera de 6m,17. On a pris pour vitesse ,d'af-

EFFETS DES MOTEURS.

a75 quantité de travail disponible donnée par le frein est la quantité de travail consommée par les frottemens.

On a calculé l'effet théorique de la roue par la formule employée pour la roue de Toulouse : Pv

m (17--v) vk. m.

Elle peut encore se mettre, comme on a vu,

sous la forme Pf.)

t000 Oh + I°°° g

v

iluence celle qui est due à la charge sur le côté .inférieur de l'orifice,

L'arbre de la roue était accouplé au moyen d'un manchon à un axe portant une roue en bois. -Cette roue menait le pignon de ;l'arbre à cames.. (La Toue hydraulique soumise aux expérienées était celle d'un martinet.) C'est sur cet arbre qu'on a fixé le frein. Le calcul des diverses résistances a conduit à la formule 209k, P=4,5oS

o

dans .laquelle P est l'effet transmis à la circonférence moyenne des aubes, et F la charge totale. du frein. En multipliant la valeur de l'effort P par la vitesse de cette circonférence moyenne, on a obtenu Veffet utile total, c'est-à-dire la quantité de travail réellement transmis par le moteur à la roue hydraulique. La différence.:entre cet effet utile total et la 18,