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'EXTRAITS.
forme ordinaire. Il s'en dépose des cristaux plusieurs jours encore après le refroidissement de la dissolution..
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puisque 'l'iodate de soude et le .chloTore de potassium se décomposent réciproquepotasse
Le nitre, le nitrate de baryte, et le deutoxide
38. Becherches sana transformation des
IODU-
RES DE SODIUM ET DE POTASSIUM en oxi-sels par
l'action de certains corps oxigénans et notamment du chlorate de potasse; par M. Henry
Fils. ( J. de Pharm. t. i8, P. 45- )
On peut transformer immédiatement l'iodure de potassium en iodate de potasse par le moyen du chlorate de potasse : voici le mode d'opérer le plus convenable.On prend i p. d'iodure depotassium et i p.; à i p. de chlorate de potasse.Après avoir fondu l'iodure dans un creuset de Hesse d'une assez grande capacité, on le reti re du feu, et lorsque le sel est encore demi-liquide, on y projette par portions le chlorate réduit en poudre, puis on agite; le mélange paraît se liquéfier de
de haryum,chauffés avec Piodure de potassium, en transforment une quantité notable en iodate. On a de l'acide iodique parfaitement blanc en décomposant l'iodate de chaux, sel qui est grenu et cristallin, par de l'acide nitrique pur et en ajou-
tant ensuite une certaine quantité d'alcool.
39. Mémoire surla pré paration dit-CYANURE DE POTASSIUM et sur les produits de sa décomposition
par l'eau; par M. Geiger. ( An. de Geiger, 1832,p. 44.) On peut obtenir le cyanure de potassium au -moyen du çyanoferrure de potassi uni , en décompo-
suite, et se boursouffie avec une effervescence vive; mais au bout de plusieurs additions semblables, la masse s'épaissit, devient blanche, opaque et cellu-
-sant celui-ci par la chaleur d'un feu modéré. Dans des vases fermés on l'obtient en partie en beaux cristaux bien déterminés. On réussit aussi à séparer une partie du cyanure de potassium du carbure de fer qui s'est formé pendant la calcination,
après l'avoir réduit en poudre. Si l'eau est froide il ne se dissout qu'en partie ; si elle est trèschaude, il se dissout et se dépose en petits cristaux mamelonnés par refroidissement. L'alcool le précipite abondamment de la liqueur; en évaporant ensuite l'eau mère qui retient de l'iodure de potassium, on peut traiter de nouveau le résidu par le chlorate de potasse pour former une nouvelle dose d'iodate. L'iodure de sodium et le chlorate de potasse donnent aussi de l'iodate de
-en jetant la matière encore en fusion sur un tamis de toile métallique. Les vases de fer fermés sont ce qu'il y a de meilleur pour cette opération; ceux en verre et en terre sont moins convenables. Une chaleur trop intense ou trop long-temps prolongée est cependant nuisible en ce qu'il se décompose du cyanure du potassium. Pendant la calcination du cyanoferrure, il se dégage constamment de l'azote avec un peu d'ammoniaque et d'acide prussique. La matière calcinée est en masse boursoufflée, à demi fondue, de couleur noire, et parsemée de parties
laire: on laisse refroidir, on enlève le sel du creuset avec facilité et on le traite par l'eau,