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E-XTRAIT5.
çurmiE.
eunement cet osmiure. On peut,
d'osmium : on en sépare ce métal par le zinc, ou bien on le mêle avec de l'eau qui le change en une substance brune, insoluble, et l'on réduit celle-ci par le gaz hydrogène dans un tube de verre; il se dégage de l'eau et de l'hydrogène sulfuré, et l'osmium reste dans le tube sous forme pulvérulente. Pour réduire foxide d'iridium on le chauffe dans
fondre le minerai à une haute température avec du cuivre, du plomb ou de l'argent; 20. le fondre à une température moyenne avec du plomb; et 3°. le traiter par la litharge. On a chauffé, dans des creusets brasqUés, à 5o' p.
un tube de porcelaine au-milieu d'un courant dhydrog,ène; ordinairement il ne contient pas d'os'inium ; s'il en contenait par accident, on le
ferait fondre au creuset d'argent avec de la potasse, on laverait pour dissoudre l'osmium , puis on traiterait le résidu par l'acide muria tique, et on précipiterait l'iridium de la dissolution par le sel ammoniac. Toutes les fois que l'on chauffe un-mélange de lit-sulfate de potasse et de chlorure de sodium au contact du platine ou des métaux qui l'accompagnent, il y a action vive, dégagement d'acide sulfureux et formation de chlorures. A une température élevéejle suifate acide de potasse- décompose les chlorures alcalins avec dégagement du chlore. _
- par tyi. r.
'Berthier. (Traité' des essaiS par' la void sèche ,
80. Purification daesivimaç
2, p. 1002.) la zircône compl L présence du titane et que beaucoup le traitementAe Asiniure d'iridium et rend très difficile la préparation de ces deux métaux à l'état de pureté :la voie sèche nous fournit heureusement plusieurs moyens fort simples de séparer de Tosmiure> d'iridium toutes les substances dont il est mélangé,. sans altérer aula
Minerai (l'iridium . og. Cuivre en limaille. 20 plomb. Borax fondu. . . . 5
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Argent.
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On a eu pour résultat des culots métalliques, d'apparence homogène, surmontés d'une scorie vitreuse noire, qui s'est séparée aisément par le choc. Cette scorie devait contenir le titane, la zireône, etc., qui se trouvaient dans le minerai. Le culot cuivreux pesait 28 gram. , le culot plombe,ux 24 gram., et le culot argentifère 27 gr.,7. En' traitant ces culots par l'acide nitrique pur, la totalité du _cuivre, du plomb., de fargent,.s'est dissoute , et l'Osmiure d'iridium est resté à l'état de pureté sous forme d'une scorie grisâtre , ce qui prouve qu'il n'était,',:que disséminé dans la matière métallique et non en, combinaison homogène.
2'. En chauffant le minerai à la manière d'un essai de plomb avec Io parties de litharge , 2 de carbonate de soude et o,4 de charbon, on obtient une scorie hien,..fondue, compacte, d'un gris: noir,
à cassure grossière et matte, et un culot métal-
lifère très bien formé et très net qui pèse io parties ; ce culot n'est autre chose que du plomb dans lequel l'osmiure..est disséminé ,-;etdont ;on sépare aisément ce1tii7ci,ati moyeu de l'acide ni. qui itissot4tnut plom.b.:luadtj31,;)LitàQ-