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POUR LE PUDDLAGE DE LA FONTE.
EMPLOI DE LA TOURBE
'alée à
gris-noir, peu nerveux ; la première épreuve" Pa
'elle contient 10 pour foo d'eau hygrométrique, 13 pour ioo de cendres, et est de.
fortement gercé et la troisième l'a cassé à la se-
qualité moyenne ; mais, formée de végétaux très. peu altérés, elle est extrêmement légère et ne pèse
conde courbure.
Le fer puddlé, étiré et fendu à la tourbe au
moyen de deux Chaudes et d'un corroyage, était gris-noir, peu nerveux; la ro. épreuve l'a très fortement gercé, la 3e l'a cassé à la deuxième courbure. Pour ces trois espèces de fer, la première
épreuve, pratiquée sur la verge, a montré en général la différence qui existe, sous le rapport de la soudure, entre lesdeux côtés de la verge; celui qui correspond à la largeur de la barre, coupée par les taillans de la fenderie., s'est bien plus promptement gercé que l'autre, parce que dans cette fabrication le fer n'a été pour ainsi dire comprimé que dans un sens. Ces essais permettent d'apprécier l'influence du mode d'affinage et du procédé d'étirage, et de leur ensemble on peut conclure ,que la différence de qualité, entre les fers à la tourbe et les fers au charbon de bois, n'est pas plus considérable que celle qui existerait entre ces mêmes fers au charbon de bois et ceux qu'on pourrait, avec les mêmes fontes, fabriquer à la houille.
que 176 kil .le stère, ce qui n'est que les 4 dixièmes
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du poids des tourbes de densité moyenne contenant la même proportion de cendres; cette légèreté spécifique a d'assez graves inconvéniens pour le chauffage des fourneaux de cette sorte. Elle est taillée en briquettes cubiques , (lui, séchées, ont de Orn, I 2 à o'",15 de côté ; cette forme nuit à la dessiccation, et Ce volume beau-
coup trop considérable, qui ne permet de les. charger qu'a la main sur la grille, augmente la
main-d'oeuvre et fait croître surtout la 'consommation de combustible et le déchet par l'augmentation de la durée du chargement. 3.. Trois espèces de fonte au charbon de bois ont été puddlées dans les essais , savoir : deux fontes brutes à peu près grises, l'une en guensets, l'autre en grosses plaques de o-,o5 et l'une d'elles
refondue au charbon de bois dans un cubilot coulée en plaques de om,o38 d'épaisseur et tirant sur le blanc. 4°.
5 vu.
RÉSUMÉ ET CONSÉQUENCES DES ESSAIS.
En rapprochant entre eux les -résultats de ces essais, on peut en déduire le résumé et les conséquences suivantes Relativement à l'usine crIchoux
L'emploi de la tourbe a complétement
réussi chez M. Larreillet pour le puddlage de la fonte, le réchauffage et le corroyage du fer. 20. La tourbe employée est seulement clessé-
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,
Le prix auquel la houille reviendrait
à
Ichoux est trop élevé pour qu'il ait été possible d'obtenir, par une expérience directe, les résultats comparatifs de l'emploi des deux combustibles, de sorte que la comparaison a dû être établie sur. les résultats moyens du travail à la -houille dans d'autres usines.
5.. La conduite des opérations et leur durée,
les déchets de .1a fonte du fer brut et du fer dégrossi, ont été ce qu'ils auraient été avec la houille dans les mêmes circonstances.