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tant les projections horizontales du cordeau,deque ces l'on a dCt calculer d'avance. Les directions l'on l'aiguille aimantée, et lignes sont données par porte sur chacune d'elles une longueur proportionnelle 'à la projection horizontale calculée du. cordeau. de IV. Il est inutile d'insister sur l'inexactitude sur Calcul tracégraphique , qui fait porter des distances ce mode de à trois plans chaque distance les erl eurs de direction et de Ioncoordonnés. gueur commises sur toutes les distances antérieures. Il devrait être généralement abandonné, qui tiencomme il l'est en effet, par tous ceux de précision, des plans avec un peu nent à dresser trigonoet sont familiers avec les principes de la métrie rectiligne. On évite toutes les erreurs de tracé, en calculant les distances de toutes les stations à trois se croisent plans coordonnés rectangulaires, qui le point de déqui est ordinairement en un point, L'un de de la première station. part ou l'origine ces plans est horizontal; des deux plans verticaux, le premier est déterminé par l'angle qu'il forme le second . avec celui du méridien magnétique, et
est perpendiculaire au premier. On considère
celui-ci comme le plan méridien, et l'on donne aux trois cordonnées de chaque point les noms usités en géodésie, de hauteurs, longitudes et latitudes. Chacune de ces coordonnées peut être positive ou négative. On regarde comme positives : Les élévations au-dessus du plan horizontal ;
Les longitudes à l'est du plan pris pour plan
méridien ;
Les latitudes au nord du second plan vertical perpendiculaire au méridien coordonné.
DE PLANS SOUTERRAINS.
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Comme négatives Les dépressions au-dessous du plan horizontal; Les longitudes à l'ouest du plan pris pour plan
méridien; Les latitudes au sud du second plan vertical. V. Il y a avantage à prendre pour le premier plan coordonné vertical le méridien vrai du lieu de l'observation, parce que les plans de toutes les mines d'une même localité seront ainsi rapportés à trois plans coordonnés parallèles, et pourront être liés facilement les uns aux autres. Mais, il sera nécessaire , pour cela, de déterminer quelle est, le jour de l'observation , la déclinaison de l'aiguille aimantée, ce qui exige qu'on trace une ligne méridienne. Comme ce tracé demande
du temps, et pourrait même occasionner des retards, on pourra s'en dispenser, et il. suffira de constater d'une manière précise , de manière à pouvoir la retrouver par la suite , la position du plan, arbitraire d'ailleurs, que l'on aura choisi pour plan méridien, précaution qui est, au surplus, indispensable, si l'on veut éviter les erreurs dues à la variation de déclinaison. Voici comment on pourra procéder. Supposons qu'on lève, pour la première fois,
le plan d'une mine, et qu'on ne veuille pas ou ne puisse pas tracer une méridienne. On prendra
pour plan méridien coordonné le plan même du méridien magnétique, que l'on suppose invariable, pendant la durée des observations, en négligeant ainsi les variations diurnes de déclinaison. Il fatidra seulement que l'on puisse retrouver, à une autre époque quelconque, la position de ce méridien , soit pour continuer le plan de la mine, sans le recommencer entièrement, soit pour
Choix
du plan méridien coordonné,