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EXTRAITS.
un creuset de porcelaine ; j'ai traité le ,double sulfure obtenu par l'eau régale, et j'ai pesé d'une part l'acide tunstique , et d'une autre part le sulfate de
soude resté dans la liqueur. J'ai d'ailleurs vérifié le résultat de l'analyse, en recherchant avec une grande exactitude la proportion d'oxigène qui se dégage à l'état d'eau lorsque l'on traite du bitunstate de soude parfaitement pur par le gaz hydrogène sec; cette quantité s'approche de très-près de o,o6y , qui est celle que l'on déduit du calcul. 5o. Sur le CYANURE de TITANE; par M. Dôbereiner.
( J. der Phar. t. i4, p. 251. ) Lorsqu'on précipite un minerai de platine tita,
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nifère par le cyanure de mercure , le dépôt,
essentiellement composé de cyanure de cuivre et
de cyanure de palladium renferme aussi du cyanure de titane. Si l'on chauffe ce dépôt dans
une petite cornue de verre, le cyanure de titane se volatilise sans se décomposer, et se dépose dans
le col de la cornue sous forme d'une poudre
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manganate de potasse, en procédant comme il suit. On mêle bien exactement ensemble 4 p. de peroxide de manganèse et 3 p. de chlorate de potasse, puis on ajoute au mélange 5 p. de potasse caustique dissoute dans une petite quantité d'eau ; on fait sécher le tout et on le convertit en poudre fine, puis on le chauffe au rouge sombre dans un creuset de platine; on détache facilement du creu-
set la masse agglomérée, mais non fondue, de manganate qui s'est formé; en la traitant par une grande quantité d'eau bouillante, elle se convertit aussitôt en hypermanganate , en abandonnant de l'hydrate de peroxide. On décante, et en évaporant la liqueur décantée, on obtient des cristaux : ces
cristaux sont à la vérité très-petits; mais en les dissolvant dans la phis petite quantité d'eau possible et faisant évaporer de nouveau, on obtient le sel en cristaux qui ont jusqu'à de pouce de longueur.
En ajoutant du sucre aux eaux-mères, il s'en sépare de l'hydrate de peroxide de manganèse, qui peut servir pour une autre opération.
brune aisément soluble dans l'eau. La dissolution
est précipitée en blanc par l'ammoniaque, en
orange par la noix de galles, et l'étain métallique .la colore en violet. t .Préparatio7i del'HYPERMANG-ANATE de
potasse;
par M. Grégory. ( Ann. der Phar. , t. p. 237.)
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On peut modifier avantageusement le moyen que M. -Waler a donné pour préparer l'hyper-
52. Sur les alliages de FER et de CUIVRE ; par M. Mushet. (Phil. mag., fév. i335.)
La cuivre s'unit au fer en d'autant plus grande proportion que celui-ci contient moins de charbon, en sorte qu'il serait iinpossible d'obtenir un
alliage de ces deux métaux en les fondant au contact du charbon; mais, en prenant des précautions particulières, on peut préparer cet alliage.