Annales des Mines (1836, série 3, volume 9) [Image 260]

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5o6

3

Silice Alumine .

0,750 -- 0/771 .

.

.

Oxide de fer . Magnésie.

Chaux .

,

. . .

.

0,143 0,049 0,015

. 0,003

0,160 0,015 o,006 o,003 0,002

Oxide de cuivre. 0,004_ Potasse -0,034 -- 0,039

Charbon, etc. . 0,002 - 0,004

0,777 0,157 0,013 0,013 o,006 1)113°4

o,o3o

1,000 -- 1,000 -- 1,000 Il paraît résulter de ces analyses que les schistes

argileux de transition sont le produit de l'altération de roches qui sont partout de même nature, ou du moins très-analogues entre elles.

par M. Kobell. (Jahr fur Min., 34.) Cette substance vient de l'île d'Elbe; elle est accompagnée-d'une matière talqueuse qui paraît nouvelle et de pyrosehlérile. Elle est compacte, à cassure inégale imparfaitement conchoïde, d'un blanc sablé de jaune et de gris, mate et transluAnalyse de la CONICHRITE

cide seulement sur les bords; elle raie le sel gemme et elle est rayée par la chaux carbonatée. Sa pesanteur spécifique est dé 2,95. Elle est composée de : Silice

Plo

0,3569 de manganèse.

Alumine C Chaux

42. Analyse du MINERAI DE MANGANÈSE de Cork;

par M. Thomson. (Tr. de Min., t. i", p. 5o5.) On trouve ce minerai en quantité très-considérable dans le comté de Cork, et on l'emploie dans les manufactures de Glasgow ; il est d'un brun noir, demi-métallique. Sa pesanteur spécifique est de 3,31 et sa dureté de 4,25. Il contient : Peroxide de manganèse. . Deutoxide de manganèse. Eau Peroxide de fer, Silice

50'

DE SUBSTANCES MTNÉRALES.

ANALYSES

.

0,1722 0,2348 0,0805 1,0029 0,2864 0,2290

Comme ses propriétés chimiques prouvent que

le fer et la silice n'y sont que mélangés, on doit le considérer comme composé de 2 at. de peroxide

de manganèse, 3 at. de deutoxide et 5 at. d'eau.

Pro toxide de fer. Eau

.

o0;23255609

0,1712 0 0:280 011.48 .

.

0,0900

0,9859

Aralyse d'une CROUTE provenant d'un moulage de FONTE; par M. P. Berthier.

Dans une opération que l'on a faite à Hayauges

(Moselle) pour mouler un tuyau de fonte, il est arrivé qu'au moment où l'on a dénudé la pièce, le noyau s'est trouvé enveloppé, dans toute son étendue, d'une couche épaisse de 2 à 3 millimètres d'une substance blanche mêlée d'une substance métallique grise. Cette substance formait une masse parfaitement lisse du côté du moule, mais elle était raboteuse du côté de la pièce de fonte à laquelle elle n'adhérait aucunement. Cette croûte se composait essentiellement de Tome IX, 1836

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