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comme nous l'avons dit ci-dessus
io3 Toutefois il est probable qu'ils ont été produits, comme les autres, par les soulèvements des jur chaines , et qu'ils ont eu, lieu pendant la période rassique : en effet, quand des couches horizontales, déjà consolidées en partie , étaient soumises à des. DE LA FRANCHE-COMTÉ.
TERRAIN JL RA- CRÉTACÉ
que les soulè-
vements étaient d'autant plus fréquents que la période jurassique approchait de sa fin. Cette loi s'étend aux terrains inférieurs -qui participent aux soulèvements du terrain jurassique, puisque leur stratification n'est jamais contournée d'une manière sensible, et qu'ils se présentent comme des lambeaux portés par les soulèvements jurassiques dans les positions où nous les observons, 11 est vraisemblable , d'après la direction constante des chaînés jurassiques, que les agents plu-
toniques qui, par des poussées de bas en haut, ont produit le relief du Jura en soulevant et fracturant le terrain jurassique déposé horizontalement ou à peu près, se dirigeaient eux-mêmes
- mais ils ont dû exercer en
du S.-0. au même temps de fortes poussées latérales, probablement dans le sens de l'est à l'ouest, et de ces poussées latérales qui préludaient peut-être au soulèvement des Alpes, sont résultées les croupes jurassiques formées,sur chaque versant,de couches
inversement inclinées, mode de formation dont on peut se faire une idée en assimilant les couches jurassiques .à des. pièces de toile ou de drap mouillées. qui, pressées latéralement , se plisseraient longitudinalement en raison de l'intensité de la pression qu'elles éprouveraient. Cette hypothèse d'une direction constante dans l'action des agents plutoniques fait concevoir parlitement la formation des accidents et dérangements du terrain jurassique (voûtes, cirques , combes, failles) situés dans cette direction; mais on ne se rend pas raison aussi bien de la formation des accidents moins nombreux ( cluses et ruz ) qui se présentent
4"te.prie direetion perpendiculaire 'aux chaînes.
poussées de bas en haut agissant suivant des lignes; droites sensiblement parallèles , elles
s'écarter pour pouvoir occapeb grand, et, leur écartement devant]. un espace plus être symétrique par rapport à l'axe du sdulève,-, ruent, il a dû en résulter des fraètures perpendi,-, culaires à la direction de la chaîne. Dansittef hypothèse, les failles seraient les seuls accidurits: du terrain jurassique qui auraient-pu se produinki u9il encore après la période jurassique. Le terrain auquel nous donnons, avec M. Volt4 le nom de jura-crétacé(1), parce qu'il se be pari-Se caractères paléontologiques avec le terrain jurasi. signe et le terrain crétacé, se présente , dansevallées du Jura, adosse sur des calcaires apprire'eL) nant au troisième étage du terrainrjurassiqueo;lb quelquefois au deuxième étage de ce terrai,,iiet stratification toujours discordante, mais peu dife devait:nécessairement
fér en te de celle de ces calcaires1 il suit jusqujàcmfb
certain niveau'lâ mouvements des couelreàsjuritaSd siques sur lesquelles il repose, sans s'élever jamaig, à beaucoup très'J sur les sommités qu'elles cOnst14, tuent- de Scrte'que", dans une'vallée jurassiqu'à Mn-née de etitielieS qui se relèvent en sens apriOsil;
on. voit également les strates du terrairreia?a,
CMiâce4"«,ffrir deux inclinaisoiïsopposées , qtr,ee , '
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M. Thileaan,01:121A{i de l'appeler dU DO
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la ville çlc; Nee.hâtel , pics dc laciae` eefib Ji-P,;:.4.