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VENTILATEUR EMPLOYÉ
COMME M ACHINE SOUFFLANTE.
N'est-il pas évident d'après cela , que, sans les erreurs dues aux observations, sans la trop grande convergence des parois des tuyères employées dans les deux premières expériences, disposition par suite de laquelle l'application de la formule
Entre les limites 276 et 712 pour le nombre de tours des ailes par minute ; 33 et Soo centimètres carrés pour la surface totale des orifices d'écoulement ; 10 La dépense par un ou plusieurs orifices constants est proportionnelle à la vitesse des ailes. 2. Quand la vitesse des ailes est constante, la dépense est proportionnelle à la surface totale des
proposition suivante
orifices des buses.
P = 493c/21/f1(b+11) nous a conduit à des résultats trop forts, et comparables seulement entre eux, on aurait reconnu l'existence dé la Lorsque la vitesse des ailes du ventilateur est constante, la dépense par une ou par deux buses est proportionnelle à la sutlace totale des orifices des buses d'écoulement. Cette loi ne peut être vraie que jusqu'à une certaine limite, et je l'ai reconnue, comme l'indique le tableau ,jusqu'à une surface de 578 centimètres. carrés pour l'ouverture des buses. J'ai fait alors la 20° expérience trois buses de 192'"`, présentant une surface sur de 867 centimètres carrés, et j'ai obtenu, pour la dépense par seconde, 62,4 pieds cubes, au lieu de 66 au moins. que j'aurais dn trouver, si la loi avait continué à être vraie. N'ayant qu'une observation de je ne puis pas dire avec certitude si la ce genre, différence de 3,6 pieds cubes provient d'une erreur d'expérience ou de ce que la loi cesse d'être applicable cependant je pense que l'on ne sera exposé à au-; cune erreur grave en se servant de cette loi entre les limites de 33 et de 800 centimètres carrés pour la surface totale de l'orifice des buses. Les conséquences des expériences exposées cidessus sur la quantité d'air lancé -dans l'atmosphère par le ventilateur de la fonderie de MM. Martin, peuvent être résumées ainsi qu'il suit :
J'ai cherché à renfermer ces deux propositions dans une formule qui pût servir à déterminer le volume d'air lancé par le ventilateur, quand on connaîtrait le nombre de tours des ailes et la surface des orifices des buses. Je suis arrivé à 158Sii
V 1
.000.000
pour calculer le volume en pieds cubes, et V = 5,417 Sn
1.000.000
(2)
pour obtenir ce même volume en mêtres cubes. le volume cherché, j0° et 0'1,76 de pression pour une seconde. S = la surface totale des orifices en centimètres carrés. n le nombre de tours des ailes du ventilateur en une minute.
Les nombres de la 16e colonne ont été calculés avec la formule (t). Si on les compare avec leurs correspondants donnés par les expériences, et inscrits dans la colonne 14 , en remarquant que les deux premiers nombres de cette dernière colonne sont trop forts 'a cause de la convergence des parois des tuyères, on