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FUSION DES mirinAts DE FER
volume et produit la même quantité de chaleur que le charbon pur, quand il donne sous l'unité de volume le maximum de chaleur, le poids du carbone équivalent aux matières combustibles introduites est plus considérable dans la marche au
bois que dans la marche au charbon, bien que nous ayons vu que la masse à fondre est moins considérable dans le procédé actuel que dans l'ancien. Ce fait, d'une plus grande consommation de
carbone pur, n'a rien qui puisse surprendre, puisque , quel que soit le combustible introduit,
même quand il donne la même quantité de chaleur théoriquement que le charbon à volume égal , il porte toujours avec lui le désavantage de renfermer une bien plus grande proportion de matières volatiles que ce dernier. Ces matières gazeuses , en brûlant , étendent le lieu de la combustion, et la température doit être moins élevée dans l'unité d'espace que si l'on y brûlait un combustible fixe. Par suite , il doit y avoir un excédant de combustible qui compense cette différence.
A L'AIDE DU BOIS EN PARTIE C.413e0NISÉ. 567
gaz combustibles peut servir à échauffer un plus grand nombre de fours; et l'on en construit huit autres à la suite des .premiers, afin de marcher entièrement au bois. La fig. I(Pl. X) représente l'élévation du devant des fours. Le gueulard est surmonté d'une cheminée A; BC est la plate-forme. Le niveau du canal dans lequel circule la flamme est un peu au-dessus de cette plate-forme, environ de l'épaisseur d'une brique.
E, E sont des plaques posées irrégulièrement au-dessus du gueulard, et qui renvoient la flamme. Tous les détails des plaques qui composent un four sont représentés par les fig. 6 à 14. La fig. 6 montre la plaque de fond qui repose sur la maçonnerie par la partie eeee sur le devant, et par les bouts sur le derrière. La .fig. 7 est une coupe transversale de cette plaque suivant a cle fig. 6, La plaque des côtés longitudinaux (fig. 8) entre dans là rainure -gg ; deux boulons la fixent au
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tasseau h h. DISPOSITION DES FOURS A DESSÉCHER, ET EXPLICATION DES PLANCHES X ET XI.
Les fours de Haraucourt sont en ce moment au nombre de huit, disposés sur une même ligne à la suite du gueulard , et échauffés par la flamme
qui se dégage de celui-ci. Une partie de cette chaleur perdue est employée à la calcination de la pierre calcaire, dans tin four disposé à cet effet de l'autre côté du gueulard. La chaleur développée par l'inflammation des
La plaque verticale de derrière (fig. 9) vient s'appliquer contre les tasseaux ii (fig. 8) , et kk (fig. 6), auxquels elle est boulonnée. La plaque de devant (fig. Io) se fixe de la même manière contre les tasseaux Il (fig. 8) des mêmes plaques. La plaque de dessus (fig. i i ) est simplement
posée sur les tasseaux mm, nn, p p. a ,b,b , sont (fig. 8) des ouvertures dans cette plaque pour le passage de la flamme. Le corbeau oo , qui dépasse en avant la plaque
Description d'un four,