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NOTICE SUR LE FREIN
DYYAMOMÉTRIQUE.
Le renouvellement de cette eau pourrait, dans
Ce tuyau, qui est en cuivre, d'un pouce de diamètre, a été ajusté à frottement avec de la filasse
certains cas, ne pas suffire pour enlever suffisamment la chaleur produite sur le rebord ou bourrelet cc précité , c'est pour cela que cette partie est creuse et qu'elle communique avec l'intérieur de la lanterne par une série de trous w,w,vv... représentés fig. 4 et 24. Dès que l'eau s'échauffe dans
le bourrelet elle remonte dans l'intérieur de la lanterne, et se trouve naturellement remplacée à mesure par de l'eau froide. Il est souvent essentiel, en même temps qu'on refroidit le frein, d'empêcher que l'eau tombe au-
dessous de l'appareil, et le long de l'arbre de couche. Pour remplir cette condition, et entretenir en même temps un courant d'eau continu dans la lanterne, j'exécute les dispositions indiquées fig. 24. L'eau froide arrive dans l'appareil par le tuyau d attaché à un point fixe, elle tombe clans le petit bassin en forme d'auge circulaire ce. Ce bassin est en cuivre, formé de deux pièces, réunies par des
boulons et écrous, de manière à bien tenir l'eau ( voyez fig. 25 et 26).11 est attaché sur la lanterne; et tourne avec elle de manière à recevoir toujours
l'eau qui tombe du tuyau d. Cette eau s'écoule sans cesse du bassin ee dans la lanterne par le tuyau f, les intervalles entre les cales placées en b,b ont été garnis préalablement avec des coins
en bois et de l'étoupe, de manière à retenir complétement l'eau, ou à n'en laisser échapper
qu'une quantité moindre que celle que l'on fournit à l'appareil par le tuyau cl, en sorte que l'eau ne tarde pas à monter dans la lanterne jusqu'au niveau supérieur du tuyau cc, arrasé à deux centimètres en contre-bas de la joue antérieure.
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dans le trou (,), représenté fig. 4 et 7.
L'eau tombant de l'appareil en c, en b,b, et quelquefois aussi un peu par le joint des deux
moitiés de la poulie, est reçue sur une pièce
légère en cuivre ghh , de forme conique, calée en hh sur l'arbre de couche, avec quelques morceaux de bois que l'on recouvre de filasse et de suif, de manière que l'eau ne puisse pas pénétrer entre les cales. Comme il n'y a là aucune pression, il est très-facile d'empêcher qu'il passe une goutte d'eau le long de l'arbre de couche, au-dessous de hh. La pièce gghh (voyez fig.27 ) est composée de deux parties réunies avec des boulons et écrous. Elle est consolidée en hh par un petit collier en fer, formé également de deux parties. Quand le moteur est en meuvement, le système, comprenant le bassin ce ( fig. 24) , la lanterne en fonte et la pièce gglzh tourne avec l'arbre de couche ii. Toutes les eaux écartées de l'arbre jusqu'à la circonférence gi.z. par la pièce gghh, sont recueillies dans un bassin circulaire
semblable au bassin ce, avec cette seule différence qu'il est plus grand ; ce bassin ne tourne pas avec l'arbre, il est posé sur des supports fixes s,s, et l'eau s'en échappe par le tuyau in, ajusté avec une bride au fond du bassin. Ici le bras de levier ne peut que rarement être équilibré, comme dans le cas d'un arbre horizontal, les localités s'opposant presque toujours d'une manière absolue à l'emploi d'un frein don tle centre de gravité se trouverait dans l'axe de l'arbre de cou-
che. J'emploie ordinairement le frein tel qu'il a été décrit ci-dessus, et sans rien changer au bras Tome XII, 1837. 7