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NOTICE SUR LE FREIN
environ 'une heure, je commence l'expérience définitive sans arrêter la marche de l'appareil. J'examine avec soin l'état du feu sur la grille au moment où il devient nécessaire d'ajouter du charbon pour entretenir la vapeur au degré voulu dans la chaudière, et je fais prendre le charbon qu'on va
DYNAMOMÉTRIQUE.
d'observations et disposé comme ei-dessous,
employer dans un tas préparé à l'avance et déterminé approximativement de manière à suffire à la consommation pendant une heure environ. Ce charbon a été pesé exactement, et quand il est épuisé on le remplace par une pesée nouvelle, jusqu'à la fin de l'expérience, en tenant note de l'heure à laquelle on entame chaque pesée.
Au moment où commence l'emploi du charbon pesé, je mets les aiguilles du compteur à zéro, et je laisse partir le mouvement du cadran, qui sur-ma .montre peut s'arrêter à volonté. Aussitôt après je note la hauteur du manomètre et
celle du flotteur, dont j'ai eu soin de vérifier préalablement le bon état, et je veille pendant toute la durée de l'expérience à ce que l'un et l'autre varient le moins possible. Enfin j'ai soin de ne terminer que lorsque toutes les circonstances de pression, etc. , etc. , sont à peu près les mêmes qu'au commencement. Quelques constructeurs de machines préfèrent ne pas alimenter constamment la chaudière et ne le faireque de demi-heure en demi-heure : cela est indifférent quand on opère pendant plusieurs heures. De dix en dix ou de quinze en quinze minutes,
j'observe le nombre de tours faits par l'arbre de couche depuis le commencement, la hauteur du manomètre et l'état du flotteur.
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J'inscris à mesure les résultats sur un tableau Tableau des portant un numéro d'ordre pou r chaque série notesa prendre
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Tonte XII, 1837.
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