Annales des Mines (1837, série 3, volume 12) [Image 221]

Cette page est protégée. Merci de vous identifier avant de transcrire ou de vous créer préalablement un identifiant.

MOUVEMENT DE L'AIR 440 ou approximativement

DANS ,LES TUYAUX DE CONDUITE'.

Portant la valeur de Po--p ,q ,(h! h) dans la valeur (b) de M, il vient

po_p 0). P.

Or on a, à très-peu près, et au degré d'approximation auquel nous nous sommes arrêtés, dans tous les calculs précédents

Mlil h)

19 0=P z

Po

le travail moteur cherché étant donc désigné, par M, on aura h'

)) (1 -92(hr k))'

et en substituant à 130p,, sa valeur tirée de l'équation (a) M

rq

7

G

gu

cf

Si nous voulons exprimer que le courant d'air,

produit par le jeu de la machine soufflante, est égal au courant, qui résulte d'une élévation de température de t à Td, par l'action du foyer d'airage , il faut égaler les valeurs ( a) de V, et (c), paragraphe 9, de Qr ; ce qui donne, en élevant au carré, et supprimant les facteurs communs «nt

(h' h)).

(1

Divisant cette valeur de M, par l'expression trouvée ci-dessus, de la quantité de chaleur nécessaire, pourproduire un courant de même intensité,

vaut que

h'

IVI

Tt

,

d'où l'on tire 1-1-,T

(h+1,-1-1il)

q,x10330(1-1-t)(

1.3xp

0.2669X 1-E,T

C

Tt

b

2

qi

P.

(111 h))

Mais on a la relation

x 10330(1+4'

q, (hrh)). P.

-14,4-1ur)(

P.P.-r n q

1+,,T

donnée dans le paragraphe io, on a, en obse1H.

eil h)

(b)

441

de sorte que la valeur précédente de

M

se réduit

simplement à (A)

h'

-

x 4+,1 -7= C 0,:1669

po

gil - h)),

12. Tel est le rapport simple, entre le travail moteur et la quantité de chaleur dépensés , pour obtenir des courants d'air, d'égale force, avec une machine soufflante, et par le moyen d'un foyer, d'airage , en négligeant toutefois les résistances passives de la machine employée. On voit que ce rapport décroit à mesure que la température T, que le foyer doit communiquer à l'air, augmente,