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DES MINES.
AÉRAGE
d'Anzity3ien,France. En suivant la méthode tout à adoptée dans cette dernière localiteil est
ait fait impossible quel'iccident dontiilgs'aF.-,it double àJmottes 4ü3diage411-aisgéJéitrMitd là emplace ment eu foyer, ou ttipte' p puits de de liti-rVOie qui mndiiit l'aietvicié, au sorties Or, cette porte doit s'ouvrir très -rarement, ement pro u r pireda combustible, dans la chargé clrimbF u foyereefaitiele feu. L'ouvrierde con.qpii-:doit. être un homme de fiantenfflt etre Seul dépositaire de l'a clef. Je crois done qt,révilà- sécurité, sous cérapport,,,teut être coMplètek UuTetisocite, puits au bas duquel est' établi le latéfeyer ofest pas a.ecedWagné de petits puitslied à échelles, comme cela a faux,,Mntenant des le même degré de Anzirniolfi peutcëneré-Obterlir tieiregl Munit; plkii; cela, de placer le.foyer dans une chambre, entièrement isolée par des massifs rli'ôche' intacte , de tous MS travaux intérieurs, puits clp -qui eciiinnuniquelfseulemenii weedrile uhe'chemmeêS et:avec le puits sortie' de l'air, p dimension, àlerie de Petite dentréérpar Mie simplement suffisante, pourle passage d'un ouvrier menant un traîneau ou une brouette. Cette galerie crenee conee'la,Chàmbre elle-même, dans 111n=if de rnéheintact et inébranlable,
- 11.11aiFd'une dotible oit triple porte régitSé
liitiI(c'éVeiiée à clef, 'que l'on n'ouvrira bbelihnent'cle pou?: le service du foyer, et dent
Péltiréé'ee inteelite à Icius leâ'bilVriers , à l'ex-
atitidecre celuV.ilFhvêl4ie, qui serVi chargé de .
"
preMière -àbjection n'eSt 'd'one applicable .1Ti3 n'est ccreaux foyers d'déi'àge:Mal établis, et
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tainement pas de nature à les faire généralement repousser, comme un moyen toujours dangereux. Cependant il est vrai que le danger serait réel, si le foyer n'était pas .établi conformément aux règles, sur lesquelles j"ai insisté à plusieurs reprises.
20 Le deuxième argument est beaucoup plus fondé que le premier ; il est certain que, dans les foyers, établis comme ils le sont le plus Souvent, même à Anzin, les portes qui isolent le foyer des galeries, par lesquelles le courant violent de gaz est obligé de passer, pour arriver au puits, peuvent être renversées, et, qu'ainsi ce courant, est explosif, peut prendre feu une seconde foi. Mais si le foyer était établi, comme je viens de l'in-
diquer tout à l'heure ou s'il ne communiquait, avec les voies principales, que par une seule galerie, ou passage étroit..,d'une assez grande longueur, où seraient établies les portes régulatrices, je regarderais le danger de' l'arrivée du courant, sur ce foyer, comme bien moindre, s'il n'était même tout à lait écarté. En effet le courant, qui suit la détonation , se précipite, par les voies les plus faciles et les plus voisines, vers le puits qui doit le conduire au jour. Si le courant fait irrup-
tion par le puitsde sortie de l'air, sans avoir rencontré, sur-son passage, aucune galerie com-
muniquant avec la chambre du foyer, il est impossible qu'il arrive dans cette chambre, en descendant par la cheminée, qui la met en communication avec le puits de sortie. S'il fait irruption au dehors par le puits d'entrée de l'air , en refoulant le courant ventilateur, il est également peu probable, qu'il pénètre dans la galerie étroite
et longue , aboutissant au foyer, tandis qu'il a