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MÉMOIRE Sur l'emploi de l'air chaud, pour le traitement du fer dans les usines royales de la Haute;.
Par N. LE CUATEL/ER,
Elève-ingénieur des mines.
(SUITE) (a).
CHAPITRE IV. DES FEUX D'AFFINERIE.
L'introduction de l'air chaud dans les feux d'affinerie n'a pas eu un succès aussi général que dans les hauts-fourneaux; aussi, ce procédé n'est-il encore, dans beaucoup d'endroits, qu'a l'état d'essai. En Silésie, les premiers essais pour l'emploi de l'air chaud ont été entrepris à Kreutzburg. Les résultats obtenus dans cette usine ont été consignés
par M. Wachler dans les Archives de Karsten, auxquelles je les emprunte pour les rapporter ici. On a employé, pour chauffer l'air, un système de tuyaux recourbés plusieurs fois au-dessus du foyer, sous la hotte qui le recouvre ; l'air, après avoir circulé dans ces tuyaux, se rend dans une caisse en fonte engagée dans la paroi de la tuyère, en surplomb sur le feu, et achève de s'échauffer en la traversant. La température, comme cela résulte d'observations souvent répétées, s'élevait, pendant les différentes périodes de l'opération à
205° pendant le forgeage. 168. » le soulèvement (Bo)isvhen). 1720 s ravalement (aawfrischen). 1840 0 l'attachement. (1) Voir la première partie du mémoire , p. 85. l'unie XVI , r839.
Usine de Krentzburg.