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EXTRAITS.
CHIMIE.
Ce sel se pré1. 2-4 carbonate d'ammoniaque. pare par la distillation du bicarbonate surhydraté. Dans cette distillation on voit apparaître les mêmes phénomènes que dans la distillation du sesquicar-
bonate. Il contient 7 atomes d'acide carbonique, 4 atomes d'ammoniaque et 12 atomes d'eau. J'ai produit 12. -1 carbonate d'ammoniaque. cloche, cristaux, en plaçant sous une ce sel en de sesavec de l'acide sulfurique, une solution vide avec quicarbonate ordinaire, et faisant le précaution pour que la liqueur ne bouillonnât 4 pas. Il contient 9 atomes d'acide carbonique, d'eau. Les atomes d'ammoniaque et 10 atomes cristaux de ce sel s'effleurissent promptement et de se transforment en bicarbonate. La préparation malgré les ce composé échoue très-fréquemment soins les plus attentifs, et je n'ai réussi à l'obtenir que dans un petit nombre de cas.
du 41. Préparation du BARIUM, du STRONTIUM et
CALCIUM; par M. Hare. (Institut, 1839, n° 3oo, page 333.) Au moyen de l'action alternative de deux déflagrateurs de chacun ioo paires, et contenant plus de ioo pouces carrés de surface de zinc, aidée par le refroidissement, je me suis procuré avec leurs chlorures des amalgames de ces métaux, et par la distillation dans un creuset de fer, renfermé dans un alambic de même métal épuisé d'air, je les ai extraits de leur dissolvant métallique. Ils sont si
oxydables que pour apercevoir leur couleur métallique blanche et brillante, l'ceil doit suivre aussitôt le trait de la lime ou du polissoir ; presque aussitôt
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qu'une surface nouvelle est exposée à l'air, elle prend une teinte jaune paille semblable à celle qui a lieu dans le premier degré de l'oxydation, et bientôt elle disparaît sous la couche d'oxyde qui
se forme. Parmi les différentes espèces de naphte que je possède, il n'y en a eu qu'une seule, que j'ai re-
cueillie d'un résidu d'une distillation de potassium, qui n'ait point réagi sur ces métaux. Après avoir été pendant quelque temps plongés dans le
naphte ,:leur effervescence avec l'eau est beaucoup moins considérable. Dans de pareilles circonstances ils réagissent d'abord avec plus de vivacité avec l'éther hydrique qu'avec l'eau ou l'acide chlorhydrique, parce que l'éther enlève une- enveloppe résineuse qui provient du naphte.
42. Séparation de la CHAUX d'avec la MAGNÉSIE; par M. Dobeireiner. ( J. fur prat. Ch., t. 16, !P. 485. )
Les deux terres ayant été dissoutes dans l'acide hydrochlorique , on évapore la dissolution à siccité, et rôh chauffe la masse saline dans une cap-
sule de platine, jusqu'à ce qu'il ne s'en dégage
plus d'acide hydrochlorique ; alors on la chauffe de nouveau jusqu'au rouge naissant et on y ajoute peu à peu de petites masses de chlorate de potasse, tant
qu'il se dégage du chlore; après quoi il ne reste. plus qu'un mélange de magnésie, de chlorure de calcium et de chlorure de potassium, d'où l'on séiparé la magnésie au Moyen de l'eau , etc.