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DE FABRICtITION DU FER.
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PERFECTIONNEMENTS DES PROCÉDÉS
fontes noires qui, on le pour le traitement des fondre que les sait, sont beaucoup plus difficiles àfontes blanches. fontes grises, et surtout que les
Au-dessus, comme au- dessous du plongement température, qui correspond au maximum dela température donnée abaisse une inclinaison
- lorsqu'elle
dans la région qu'occupe la gueuse qui se trouve rapque le vent est moindre, parce Moins proché du dessus du feu, agit sur une masse moins bien grande de combustible, se dépouille contenant une de son oxygène , et sort du feu en décertaine proportion d'air atmosphérique non grande, composé; et lorsque l'inclinaison est plus combustible parce que le vent qui agit alors sur le directement tant de la partie inférieure du foyer, qu'il éprouve au conque par le réfléchissement s'y dépouille trevent, y augmente la température, oxygène et devient son de la majeure partie de beaucoup lorsde chaleur incapable de développer du feu. De qu'il s'élève dans la partie supérieure traitement des fontes le là il résulte que, pourgrises', qui fondent à une blanches, truitées ou fontes noires, température moins élevée que les inclion petit à volonté donner aux tuyères une l'affiplus petite que pour naison plus grande ou
certaines usines, nage de celles-ci. Aussi, dansdu vent est moindre; vous dit que le plongement parce que et dans d'autres, qu'il est plus grand, détermine sans c'est la routine de l'affineur qui le tous les générale. Mais, dans qu'il y ait de règle fonte blancas, le feu étant moins profond pour la trouve plus fonte noire, le vent se che que pour la disferreuse, qui est plus rapproché de la matière d'une fonte quand elle provient posée à se coaguler blanche, et qui, en conséquence, se maintient à tout le temps nécessaire à
l'état pâteux pendant
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l'oxydation complète du carbone et des autres
substances qui l'accompagnent. La manière de monter les feux d'affinerie champenois et bourguignons confirme pleinement ce que nous avançons au sujet du plongement du vent.
En effet, nous dirons bientôt que l'inclinaison des tuyères est eu plus de 30 -; dans les feux champenois où l'on affine ordinairement des fontes truitées, et qu'elle n'excède pas 2° dans les feux bourguignons où l'on traite des fontes tout à fait blanches. Indépendamment des changements qu'éprouvent la profondeur du feu et l'inclinaison du vent,
le traitement des fontes, autres que les fontes; grises qui sont affinées habituellement dans les feux comtois, exige quelques autres modifications
dans le montage du feu et dans la conduite de l'affinage, que nous allons faire connaître.
En premier lieu, pour l'affinage des fontes
noires chargées de appelées fontes limaitleuses , qui fondentgraphite' plus difficilement que les fon-
tes grises, mais qui, une fois en liquéfaction , se tiennent liquides plus longtemps, ce qui fait que le forgeron dit qu'elles sont vives , on fait les changements suivants : i° on donne au vent l'inclinaison qui peut produire le maximum de température dans la partie supérieure du feu, c'est-à-dire 7 à 8 degrés; 20 on fait varmer les tuyères davantage, c'est-à-dire qu'on les avance dans le feu de Io centimètres au lieu de 8 à 9, et on fait pencher la varme un peu plus qu'à l'ordinaire vers l'intérieur du feu, pour rapprocher le vent de la gueuse et par là faciliter sa fusion; 3° on place la tuyère de derrière plus près de la haire, de 3 à 4. centimètres, tant pour élever la température dans la partie postérieure du feu où se trouve la gueuse, que pour rendre plus facile le soulèvement de la masse fer-