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PERFECTIONNEMENTS DES PROCÉDÉS
DE FABRICATION DU FER.
seule pièce qu'on nomme renard, et qui est forgée
du volume maximum que nous avons dit s'élever à 4-3,18 sous la pression atmosphérique, ou à 3m3,13, tandis que le volume d'air introduit en moyenne dans un feu comtois est égal
en barre de la dimension qu'on veut avoir, en bout de barre et en tête de maquette. On chauffe ensuite le bout de barre qui est beaucoup plus fort que dans le travail comtois, et on le forge en barre. Quant à la tête de maquette, elle n'est chauffée et étirée que pendant l'opération suivante. Ainsi on forge chaque fois du fer de deux opérations
aux7'7,1-'0 de 4'3,75, ou à 3-3,o9 par minute
successives, savoir : la tête de maquette provenant
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du renard de l'avant-dernière opération, et le renard de la loupe précédente (I); 6° Le fer de chaque loupe est aussi forgé entièrement par l'ouvrier qui l'a faite ; mais, comme on forge du fer de deux opérations successives, les
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En commençant l'opération.. . . . Pendant le chauffage de la tte de maquette du massiau unique, dit Fusion renard, provenant de la loupe de de la fou te et. l'avant - dernière opération. . . . chauffage Pendant le chauffage et la mise en du fer, maquette du renard provenant de la loupe de la dernière opération. Pendant le chauffage des bouts de
maquette, et l'autre, pour convertir le renard ou maquette ;
(1) A l'usine du Clos-Mortier , la loupe qui est obtenue avec trois saumons de fonte pesant chacun 25 à 26 kilogrammes, que l'on chauffe au préalable sur un petit autel situé au-dessus du feu d'affinerie, est divisée après le cinglage en trois. massiaux. On forge immédiatement celui du milieu en barre de 26 lignes ou 58 millimètres de côté en carré, et on le divise en trois lopins ou barreaux de tirerie de 27 centimètres de longueur environ. Les deux autres massiaux sont chauffés successivement, puis forgés et di'visés en trois lopins, comme le premier massiau. Il en résulte qu'on ne chauffe dans le feu, à chaque opération que le fer provenant de la loupe de l'opération précédente, comme dans le travail comtois ; mais le forgeron qui conduit le feu, est obligé d'aider son camarade pour le forgeage du fer.
,ELc.,
INDICATION na L'h,00m, DE L'oremmorr. -
deux forgerons vont au marteau pendant l'affinage; celui qui conduit le feu, pour forger la tête de
7° Enfin le volume moyen de l'air lancé par minute dans un feu d'affinerie champenois, est supérieur de t p. o/o à celui reçu par un feu comtois, puisqu'il résulte du tableau suivant qu'il est
n5q
égal aux
barre à forger
.
-
50
minutes. 8'
66
12 G.
55
25
80
15
! I
Soulève-
ment.
{Pendant le désornage Pendant le soulèvement dit le travail
1
80
5}
Io
Ioo
10
I
Avalage.
[Pendant favalage proprement dit. !Pour la formation de la loupe. .
Quand on jette famselat sur loupe
i
8o
8
66
4 i5
56
3
la t _
Moyenne
75
Tot. 90
.-
La loupe qui donne 5o kil. de fer forgé, s'oh- Consommations.
tient avec 68 à 7o kil, de fonte, d'où il résulte qu'il faut 136o kil. à 1400, ou en moyenne 138o kil. de fonte par i000 kil. de fer, consommation un peu plus forte ciue dans l'affinage comtois qui exige