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PERFECTIONNEMENTS DES PROCÉDÉS
.7
DE FABRICATION ru FER.
opposé à la tête de maquette, que donne le premier forgeage .du massian.
Les deux forgerons vont au marteau, comme
dans raffinage champenois, et chacun d'eux forge toujours le fer de la loupe qu'il a- obtenue. Celui.
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trinictiloN DE L'E:POQUG DE 1:0P6EATIOIY.
qui conduit le feu, forge la tête de maquette de
l'avant-dernière loupe, ainsi que son bout de barre; et l'autre forge le renard de la dernière loupe, puis le bout de, barre laissé à l'extrémité opposée à la tête de maquette qu'il avait forgée en conduisant l'affinage précédent. Nous avons déjà dit qu'on n'obtenait, par raninage bourguignon, que de très-petites loupes donnant, par le forgeage, 22 à 25 kil. de fer. Chaque
opération exige 4o minutes seulement, sur lesquelles 35 sont employées à la fusion de la fonte et au chauffage du fer, et 8 minutes à l'avalage, ainsi qu'à la formation de la loupe. Le volume moyen de l'air lancé par minute dans un feu bourguignon est égal , d'après le tableau. qui suit, aux .A+, du volume maximum que nous avons admis être de 3-3,95, ou à 3"1',16 ; par conséquent, il est supérieur de 2 p. o/o à celui qui est reçu par un feu comtois, et de i p. oio au volume Moyen introduit dans un feu champenois :
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minutes.
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tête
PendantEin.
Fusion de la gueuse et chauffage ' du fer.
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maquette du massiau unique, dit renard l de '<e ravant - dernière opération. . . Pendant le chauffage et la mise en maquette du renard provenant de la loupe de la dernière opération
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- 5
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Pendant le chauffage des deux bouts
, de barre à forger
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8
Ioo
5
1
Ç Pendant l'avalage. et la formation de Àvalagc.
la loupe. ,..Quattcl on jette le havresat sur la loupe.
66 I
Moyenne
80
Tot. 40
La loupe qui donne 23 kil, de fer forge est oh-cons.mmati tenue avec 32 à 33 kil. de fonte, c'est-à-dire qu'il faut 1390 à i4io kil., ou en moyenne 14ôo kil. de fonte par r000 kil, de fer ; consommation qui excède de 5o kil, celle qui à lieu ordinairement dans les feux comtois, et de 20 kil, la quantité de fonte nécessaire pour la fabrication des i oo6 kil. de fer dans les feux champenois. Au contraire, la consommation en charbon est inférieure de 9 p. 0/0 à la quantité de combustible
consommée dans les feux comtois voûtés, et de 7 p. ofo à la consommation des feux champenois; car on consomme communément dans les feux