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SIIPPIIMENT AU TRAITÉ
de Tandis qu'une ouverture de 5 millimètres de cylindre diamètre, pratiquée vers le haut dudans des cirmétallique, ne détruisait pas, gaze
préservatrices constances ordinaires, les propriétésd'un défaut de
de la lampe de Davy, il suffisait pratiqué à moins de deux millimètres d'ouverture, que l'expeu près à la hauteur de la mèche, pourfavorisée, plosion eût lieu. Cette explosion était lorsque le courant de gaz ou de mélange détonant était dirigé sur la mèche. Les expériences de dans des mélanges en proportions variéesde la gaz oléfiant provenant de la distillation faites sur houille, et d'air atmosphérique, ont été mailles 144 des lampes dont la toile présentait épaisseur des fils -A--,80 carré, savoir
par centimètre de millimède millimètre ; largeur des trous de vide. (P. 430 du tre,- ce qui faitil; de plein et l'aérage.) Recueil des mémoires sur La lampe de Davy, essayée dans un mélange la flamme, d'air et d'hydrogène pur, a laissé passer mailles au treillis avait 215 même lorsque le 144. lieu de centimètre carré, au La lampe d'Upton et Roberts a résisté dans ce dernier mélange. La même lampe, dépouillée de son cylindre en cristal, et placée dans un mélange détonant d'air et deux de gaz oléfiant, a déterminé des explosions métallifois de suite. Cela tient à ce que la toileoo mailI que dont elle était munie n'avait que Les fils 144. lieu de les au centimètre carré, au eût -A. de étaient d'ailleurs assez minces pour qu'il y vide et *, de plein seulement.
La lampe Dumesnil résiste dans un mélange d'air et d'hydrogène pur, comme dans un mélange d'air et de gaz datant , lorsque les toiles mét-
DE L'AÉRAGE DES MINES.
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ont environ 400 mailles au centimètre carré ; même lampe résiste encore, dans le mélange d'air et de gaz oléfiant , quand ces toiles de400 mailles au centimètre carré sont remplacées par des toiles en fer de i44, et même des toiles en cuivre de 126 mailles au centimètre carré. Dans le mélange d'air et d'hydrogène pur, il y a eu explosion, lorsque les toiles métalliques de 400 , ont été remplacées par des toiles en cuivre de 215 mailles seulement au centimètre carré. La commission n'a pas pu s'assurer si, dans ce dernier cas, l'explosion avait eu lieu, par retour de la flamme contre le courant d'air entrant à travers les toiles métallique, ou bien si la combustion s'est communiquée par l'ouverture supérieure de la cheminée. Les avantage marqués de la lampe Dumesnil sur les autres lampes ont déterminé la commission de Liége à la soumettre à de nouvelles expériences, dans l'usine à gaz de la compagnie Liégeois,
en même temps qu'elle était soumise , dans plusieurs mines, aux épreuves de la pratique. Ces expériences sont l'objet du second rapport de la commission. En voici les résultats. La lampe a été essayée d'abord, dans les cloches contenant des mélanges explosifs d'air et de gaz oléfiant , ou d'air et d'hydrogène, dans ses dimensions ordinaires, mais privée du chapeau sphérique, qui recouvre la cheminée. Secondement, elle a été essayée avec une che-
minée plus courte, surmontant le plateau supérieur de 15 centimètres seulement au lieu de vingt-trois. Dans aucun de ces cas, la lampe n'a Lit défaut, quand elle était d'ailleurs bien confectionnée. Une