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vriraient entièrement : d'abord, parce que les soupapes dont il s'agit ne peuvent que se soulever , plus ou moins, lorsqu'il y a excès de ten-
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DE LA VAPEUR.
RECTIERCIIES SUR L'ÉCOULEMENT
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jours en partie obstrués, ne laissent pas à la vapeur une issue compléternent libre. Si ces soupapes s'ouvraient entièrement, elles auraient, avec des diamètres ainsi déterminés des orifices bien trop grands, puisque la surface de ces orifices contiendrait huit fois la surface s, donnée par l'équation (G). Mais, comme je viens de le dire, ces soupapes se soulèvent seulement; d'où il suit que la vapeur ne s'échappe que par une ouverture dont la surface cylindrique a pour mesure le produit de la circonférence de l'orifice de la soupape de sûreté par la hauteur dont cette soupape se soulève. La surface de cette ouverture ne pourrait donc égaler celle de l'orifice de la soupape, que dans le cas où cette hauteur deviendrait équivalente au quart du diamètre de cet orifice.
Mais ce cas serait tout à fait exceptionnel, les soupapes ne se soulèvent pas autant à beaucoup près. Elles s'ouvrent par degrés, jusqu'au point de suffire au dégagement de la vapeur, sans qu'il puisse résulter de ce dégagement aucun mouvement brusque dans l'intérieur des chaudières.
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