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532 RArpon'r SUR LA MACHINE D'ÉPUISEMENT 1TIOIS de travail, est donc tout à fait inappréciable dans ces pompes. Chaque coup de piston donnant un volume de
0-'45 d'eau, il suffirait de 6 2/3 coups par mi-
nute pour fournir le volume promis de 3 mètre cubes. Néanmoins on a préféré faire marcher la machine de manière à élever une quantité d'eau un peu plus considérable, afin de compenser la diminution de hauteur résultant de ce qu'on avait été obligé de laisser les eaux s'élever dans le puits, afin qu'elles pussent suffire à un épuisement continu de quelque durée. Les essais ont donc été faits en donnant successivement à la machine les vitesses de 8, 4 et 2 coups par minute, qui correspondent à des produits de , 1"1.`.,8o et 0.C.,90 La hauteur de l'eau dans le puits a été mesurée au commencement et à la fin de chaque expérience, et l'on a pris la moyenne entre ces deux mesures comme représentant la profondeur de laquelle avait été élevée toute l'eau débitée pendant l'essai.
DES MINES DU ROCHEI1-BLEU.
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reconnaître qu'ils n'étaient pas de la meilleure qualité possible. Le charbon anglais ne provenait
pas de Newcastle, mais d'Écosse. C'était une houille un peu sèche, ne collant presque pas, et ne donnant qu'une flamme un peu courte. Le lignite était également un peu plus friable et plus chargé de matières terreuses que celui que l'on retire des bons chantiers du pays. Néanmoins, les résultats des expériences ont dépassé l'économie de combustible annoncée par M. Taylor, ainsi qu'on le verrra par le tableau ci-après, dans lequel j'ai consigné ces résultats.
La pression de la vapeur a toujours été moyennement de 3 atmosphères, et ne s'est pas élevée au-dessus de 3 04.; elle était mesurée au moyen d'un manomètre à air libre placé sur le tuyau de conduite, assez près du cylindre. Les chaudières ont été d'abord chauffées pen-
dant quelques heures avec du lignite, avant
d'employer les combustibles pesés qui devaient servir aux épreuves. On a eu soin de constater l'état des foyers au commencement de chaque essai, et l'on s'est toujours arrangé de manière à les laisser à peu près dans la même situation en finissant.
Quant aux combustibles employés , on doit Toritc XX, 1841.
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