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RECHERCHES SUR LA CO31\1POSITION
DES elz DES FOYERS D'AFF1HERIE.
semble dans le four à chaleur perdue. Le lieu de la combustiott,se,,trouve donc situé à l'entrée du, four et à ,une petite distance du fer a deffième période 'de l'affinagr réchauffe.PeslaMoll
reaux et des feuillesde tôle s'opère en grande
nivea,dpmbon :ne dépasse guère .celnir deà
pendant la durée du forgeage deslop-ips et. danstine, atmosphère qui contenait une proportion assez cOrit, siclérable d'oxyde de Carbone et «hydrogène (exp,,, 2 1 ) s'est couverte décailles tres-zépai5e,s,d'oxydei) L'action oxydantel.itepeut..puié'tre!....attliibuéeiM
tuYr9§c.qisa.s-iistance à la voûte est d'Un Mètre. OR cherche mutant que possileà éviter ra-cces de fair,extérieur, et celui qui est,prO.Let4jer.4tMr*1 suffit *pour. rendre la _combustion ,compteçe.:»ila température du C011l'apt de gaz est un n'irpCirtfflz 4. une faible distance: des tuyères,, et elle q',43arsse continuellement jusqu'à .son. entrée ,daPs Iblir
par absorption de chaleurproduttelia4
prpis
verdç8jes et ..p'ar la voûtedufOye elles 7 Ei s'échauffent beaucoup pendant k treo soit par contact avec le courant Pe rayonnement du charbon emlyas.é fpn.,,E,lles se refroidissent, Hill EQH.t1.'a dan.lie commencement de 1 affinage, ta9dtl,fp,e,4q.,ppie, .
,
s
e
,
traire a lieu pour l'intérieur du .r à :chpleum
perdue, On s'arrange de façon à ce quer, ,f6echaulfagq L';-.
Clu fer dans le fo ur
à chaleur percheAopère une
manière concordante ayec la marchectle l'affinage
Ainsi on charge les barreaux de fer dant le travail de la pièce , et on les Passe au minoir pendant la première pétiode de l'affinage suivant. Le réchauffage du fer ,s'opère donc dans tine atmosphère dont la température va constamment en augmentant. Cette manoeuvre présente aussi l'avantage de diminuer le déchet , parce que l'oxydation du fer est d'autant plus rapide qu'il y a moins d'oxyde de carbone dans le gaz, et que la température est plus élevée. La formation des battitures à la surfaçe des bar-
partie par la décomposition de l'acide carbonique et de la vapeur d'eau. Une feuille,de tôle chauffée
dans le four à-chaleur perduentiWpetit étirage
l'oxygène libre qu'on ne trotimslans,le4onrs
cpu'eati fin 'de l'affinage. Cette.experience.proupe; la nécessité .d'échauffer par le:rayonnement eet.il les
.
pièces d'une faible épaisseur.t.-:à grande
surface,. en .-suivant les principes indiqués plus haut potina construction des fours.à,;tôle.
.West pas possible d'apprécier- exactement,
par des déductions-théoriques, le rapport dela) quantité de chaleur perdne,aveo celle utilisée d_aus
le .foyer d'affinerie. Cette çomparalson, facile- à faire quand, iLiogissait des gaz des, auts-fourneaux , serait ici 'sans intérêt. Dans -1o=feti
nerie, il -est évident que -la cipantit.,de ch4tee développée parle.:coinbustion-du.leharbon se re1,1"état de trouve à peu.. présitout calorique sensible .,Soit à l'état 141etit,,,daps les gaz qui se rendent dans. les foure...liti-,,clialeue: rayonnée par IleellarbcdTjnandesége e.t-54 ui chappe par l'ouvemure de travaill) eti-leelle que possède la masse ferreuse à,sa sortie.du Creuset, sont les principales. çauses deidéperdition Mais on concevra facilement que la dispositiowçinfoyerpoa rapport aux fours et la compositionulyafiable aux différentes époques du travail, des produits de la combustion, ne permettent pas d'utiliser une frac4 Lion de la çlialeur développée,- aussi grandeSue